Fin 1990, il est sélectionné avec une sélection Côte basque-Landes qui au Stade Jean-Dauger de Bayonne réussira l'exploit de battre les All Blacks (12-18)[2].
Il a plusieurs frères qui ont joué au plus haut niveau, comme Jean-Claude et Jean-Jacques avec lesquels il a évolué à Grenoble.
Marie est son épouse et la mère d'une famille nombreuse: Fabrice, Prisca, Romain, Sébastien, Killian.
Il fait partie de l'équipe des « Mammouths de Grenoble »[3] qui est vice-champion de France 1993[4], défait 14 à 11 par le Castres olympique sur une erreur d'arbitrage[5], dans une finale considérée comme l'un des plus gros scandales du rugby français[6].
Willy est alors capitaine de l'équipe Grenobloise et leader de la « Pacific Connection », l'équipe comprend en effet cinq joueurs de Wallis et Futuna et quatre Néo-Zélandais, dont deux Maoris[12] et sous les ordres de Michel Ringeval, il dispute une nouvelle demi-finale et s'incline à quatre minutes de la fin du match contre l'AS Montferrand[13].
L'année suivante il participe à la Coupe d'Europe où Grenoble sera la seule équipe à battre les Anglais des Northampton Saints[14], futurs vainqueurs de l’épreuve.
↑Réginald Mouyan, « Michel Ringeval (Part 2): « Au bout d'un quart d'heure, j'ai compris qu'on en gagnerait pas» », Le Sport Dauphinois, (lire en ligne, consulté le )