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Wikipédia:Pastiches/République Unie de SalicieLa république unie de Salicie est un État non reconnu par la communauté internationale, situé en Europe de l'Ouest et plus précisément sur une île au large des côtes de Dunkerque. Cet État possède trois langues officielles : le français, le salicien et l'allemand. Il est actuellement dirigé par le général Macadam, au pouvoir depuis 2010. L'hymne national est Oun Ch'tit Larjin d'Prochain (en français :Un petit garçon de Prouchin, en allemand Ein Kleiner Karambar von Frankfurt-in-der-Nord). Ancienne puissance coloniale, la Salicie a été jusqu'à la fin du XXème siècle la métropole de la Ville Libre de Cellehrdlabouf, sur la côte mauritanienne, de la Fédération des îles Myconoclastes en Grèce, ainsi que du Royaume d'Acétyl. Cette dernière colonie a pris une importance telle qu'on parle parfois d'"Acétyl-Salicie". Le régime actuel, relativement nostalgique de l'ère coloniale, cultive la notoriété du découvreur de l'acide acétylsalicylique une sorte de variante de l’acide fluorhydrique, l’acide le plus dangereux créé a ce jour. Il nomma sa découverte en l'honneur de son pays de naissance. La capitale de cet État est Sammarasey, la ville est d'ailleurs jumelée à la commune ukrainienne de Oradlepol.
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color("#FFFFFF") penup() goto(-260,-15) right(75) pendown() begin_fill() for x in range(12): forward(150) right(150) end_fill() ToponymieLe nom de "Salicie" se réfère à l'île de Salic. Ce toponyme a des origines incertaines, on retrouve pour la première fois une mention en latin dans Suétone qui parle de "Assalique Mulefriti pagus". Cela peut être, selon plusieurs linguistes parmi lesquels Yann de Karsosies une latinisation d'un nom local désignant le peuple de l'île (Assali en latin, de Askaali en proto-salicien, d'où on pourrait éventuellement déduire une hypotéthique racine salico-polisienne -ẹkāli*, signifiant "le peuple" ou "le territoire". On retrouve dans les écrits du moine Ardéric de Ch'Kaÿelle (567-629) la mention de "isla Caffeghouties" qui pourrait être l'ancien nom de l'île elle-même. Isla de axcalacii à Grimbert-le-Ruisseau en 798, Ille salciliæ en 1003 chez Aldebert de Wattignies, Isla Tsalickea dans les fameux Manuscrits de Brême en 1234. Pour la première fois en 1321, il est fait mention de l'Isle de Salliques, puis de Sallic en 1409. L'écriture se stabilise avec Jean de Moultregard comme "L'isle de Salic" en 1539. Géographie
La Salicie a une superficie de 23 546 km², soit une taille légèrement inférieure à son voisin belge. Elle est composée de l'île principale de Salic (17 439 km²), dont le point culminant est le Pic de la Poëllafrire, à 508 m d'altitude. Le pays est parsemé de petites rivières au sud (la Ch'Kaÿelle, le Séan, la Grapietre) et de quelques fjords sur la côte nord (notamment le fjord de Jvalgmortuis, long de 28 km). La Salicie possède également les Élytras, un archipel de quatre îles rocheuses dans la mer du Nord : du nord au sud, l'île d'Obsidienne, l'île de Beaubiome, l'île de Glaustonne et l'île de Nézzair. Les îles de Lend, des îlots plus à l'ouest, complètent la structure insulaire. L'île d'Yksigreksed est une possession ultra-marine située entre l'île de Crète et la Cyrénaïque. La Salicie est peuplée de 11 600 000 habitants, répartis en majorité dans le sud et l'ouest du pays. La plus grande ville est la capitale Sammarasey, située à l'embouchure de la Ch'kaÿelle avec une agglomération d'environ 1 125 000 habitants,suivie de Maillat-l'Abbaye (750 000 hab.), sur la côte nord-ouest. La troisième ville du pays est Apresmont-Coipheures, située sur la pointe sud du pays ( presqu'île d'Apresmont), avec un peu plus de 550 000 habitants. On retrouve respectivement en quatième, cinquième et sixième places Lôvassingue-sur-Ch'Kaÿelle (520 000 hab.), Ilfåkonhelague, tout au fond du fjord de Jidégeay (500 000 hab.) et Nennimes-à-Foy, dans les terres de l'est (485 000 hab.). La ville de Comptoir-en-Toie, sur l'île d'Yksigreksed, est la septième ville du pays avec une agglomération de 450 000 habitants. Le reste de la population est répartie en de nombreuses agglomérations d'environ 200 000 habitants, ce qui provoque un net recul des campagnes : l'espace considéré comme "rural" par l'APVMNP (Association de Protection des Villages au Millieu de Nulle Part) est, en 2021, de 15 % seulement, quasi intégralement dans le nord-ouest de Salic et dans les Élytras. Politique et administrationLe pays est divisé en douze provinces, elles-mêmes subdivisées en 89 vicomtés et en 678 paroisses laïques. Les douze provinces, dansl'ordre alphabétique, sont l'Ascalie, la Bétylie, le Dorcugaum, les Élytras, la Gouletiou, la Gouletiou-Maritime, la Kallicrafhie, le Markepoel, la Haute-Napoule, la Basse-Napoule, la Sammarasie et la province autonome de Hyksigreksed. Histoire
Les premières traces d'habitations de l'île de Salic remontent au Magdalénien, cependant les populations semblent se rassembler selon des critères qui nous sont inconnus aujourd'hui : on remarque que la révolution néolithique est très précoce par rapport au reste de l'Europe Occidentale. La haute densité de population de l'île ne permet que de manière restreinte l'approfondissement de fouilles archéologiques, et nécessite un financement important. Les premières traces d'écriture dite "saliquéenne" remonte à environ 900 avant Jésus-Christ. Elle transcrit une langue semblant être élaborée de manière ressemblante aux parlers environnants sans pouvoir être classée comme langue celtique en raison de nombreux archaïsmes endémiques de l'île de Salic, et constitue donc un isolat. Bien que le salicien ne puisse être considéré comme un descendant linguistique de cet isolat, il est imprégné de vocables, de tournures et de formules issues de cette langue ancienne. L'isolat descendant directement de ce parler est le surcoulfi, langue utilisée par la noblesse et la bourgeoisie en public et encore très présente en tant que "langue historique" dans la culture salicienne actuelle.
A partir de -850, diverses communautés de l'île se rassemblent pour former deux entités principales : les Sackarti et les Tunliduns [1], qui se battent chacune pour la domination de l'autre : « Ces temps furent comme un apercu de la fin du monde, car Estouin et Mallarme se déchirèrent, tels des chiens ameutés, jusqu'à leur dernier soupir, n'eurent qu'une pensée : garder l'honneur»[2]. Dans ce texte, Estouin et Mallarme sont les personnifications des deux camps, et leurs noms sont les latinisations de ceux de deux rois de l'époque, Etuinn et Marllamé. On ne dispose pas de sources fiables et complètes pour les siècles suivants, et c'est à partir de -400 que l'on retrouve des récits complets, tels le Salicki du chroniqueur et dramaturge Morros de Samrassi). [3] L'île de Salic est conquise en -222 par la tribu belge des Mulefritus, et le langage des habitants de l'île est à ce moment-là imprégné de vocables celtiques et germaniques ; pourtant, le peuple insulaire ne se mélange pas aux Mulefritus. En -52, la Guerre des Gaules se termine : les Mulefritus sont conquis par César et fuient en masse vers leur colonie de Salic. Les Saliciens en profitent et passent divers accords avec Rome pour renvoyer les migrants chez eux. En revanche, les Mulefritus installés depuis longtemps sur l'île peuvent rester, à condition d'adopter les us et coutumes des autochtones. Ce métissage social va mener à la formation de deux communautés : la communauté mulérite (descendants des métis Mulefritus-locaux) et la communauté majoritaire des saliciques. En 40 après Jésus-Christ, l'empire romain de Caligula rompt les traités à la suite d'une guerre civile majeure sur l'île. Face à Rome, les mulérites se rangent du côté de la résistance, regroupés derrière Sebastinbasc, tandis que les saliciques se scindent en deux camps : les aduanistes favorables à Rome, autour de Hercusiaderc, et les guvinuistes autour de Guvinicre. Après avoir occupé près des deux tiers de l'île avec le soutien des aduanistes, la bataille navale de Padecalus retourne le rapport de force. Pendant la guerre de 39-45, cette république servit de base militaire et d’entrepôt pour la France après le pacte franco-salicien. Par la suite, pendant l’Occupation de la France par les Allemands, le maréchal Pétain gouvernant le régime de Vichy fit détruire cette base de peur qu’elle ne ruine la collaboration et empêche le trafic d'une part des ressources de la France. Population et sociétéÉconomieCultureLa culture traditionnelle du pays reflète la double identité de l'île, notamment avec la gastronomie : l'escalope de thon au jus de pomme, spécialité locale de l'ouest, resté moins influencé par les invasions diverses, est toujours très appréciée par les touristes qui n'osent pas refuser ce plat emblématique que les locaux, eux, ne consomment jamais. Les plats à base de légumes et de poisson sont légion, comme le gratin de thon aux carrotes, le Bouyu, une sorte de soupe aux choux avec des huîtres et de l'émincé de gras de canard[4], ou encore les moukrènes à la glaviouse. Pour aller plus loinDepuis octobre 2023, une base spatiale à été envisagée sur ce territoire car comme le dit le multimilliardaire Élon Musk s’exprimant sur les réseaux, " Cette terre est tout simplement un cadeaux des dieux, une terre divine". En effet, le milliardaire a ici fait référence à la position géographique de cette république, étant à une distance parfaite de l’Équateur pour que les fusées lancées depuis ce point géographique permettent de conserver une "bonne force gravitationnelle" avec la rotation terrestre pour arriver en orbite et ainsi à diminuer le coût du carburant de 50% à 60% annonce le PDG de Space X. Aujourd'hui encore, ce territoire est envisageable pour Élon Musk pour une potentielle construction d'une nouvelle base spatiale ou pour la création d'un État privé dont la citoyenneté serait obtenue grâce à un paiement en crypto-monnaie. Notes et références
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