Les contributeurs rencontrent parfois des articles dont le sujet parait tout à fait admissible créés à l'instar du célèbre « Une pomme est un fruit », qui a marqué l'histoire de Wikipédia. Si vous trouvez de tels articles, signalez les dans cette rubrique, afin qu'ils ne restent pas trop longtemps dans cet état minimaliste.
J'ai vu sur plusieurs pages le modèle {{traduction/Référence}} placé directement dans la rubriques Notes et références plutôt que dans une rubrique spécialisée nommée Sources, comme je le faisait jusqu'à présent. Bien que le sens en soit respecté (sources = notes et références), la suppression de la rubrique Sources peut-elle poser des problèmes de recherches automatisées (par exemple sur les interwikis). Comme votre avis m'intéresse, qu'en pensez-vous ? — Salve - louis-garden pinXit (On en cause) 6 septembre 2012 à 09:05 (CEST)[répondre]
Personnellement, je le place toujours dans les notes et références, distincts de la bibliographie. Dans l'esprit, la section "Notes et références" est plus proche d'une section "Sources" que la section "Bibliographie" car "Notes et références" contiennent strictement les sources utilisées pour la rédaction de l'article alors que la "Bibliographie" contient des ouvrages qui n'ont pas été nécessairement utilisés pour la rédaction de l'article. C'est donc parfaitement sensé, selon moi. Martin // discuter6 septembre 2012 à 10:15 (CEST)[répondre]
+1 . Je le vois bien dans Notes et Ref plutôt que Source (parce que WP n'est pas une source, et que cela peut porter à confusion je crois). Et puis sur la doc du modèle, il est indiqué : « Ce modèle se positionne en général dans la section Références d'un article issu d'une traduction d'une autre Wikipédia. », alors... Amicalement --Indeed[knock-knock]6 septembre 2012 à 10:23 (CEST)[répondre]
De plus, {{traduction/Référence}} indique la source de l'article en français est un article dans un autre langue mais pas celles de l'article original. Donc je pense que considérer ça comme une source est tout relatif. C'est surtout là pour respecter la licence et les auteurs originaux. Et dans cet esprit, le modèle vraiment nécessaire est {{Traduit de}}, placé en page de discussion. Martin // discuter6 septembre 2012 à 10:30 (CEST)[répondre]
Pas du tout d'accord sur la dernière remarque, le modèle en pdd ne sert à rien puisqu'il ne permet pas d'assurer la mention de la traduction en cas de réutilisation ailleurs que sur fr.wikipedia.org. Qui irait mettre les pdd dans une édition papier par exemple ? Ou encore plus simple, quand j'importe une page sur le Wiktionnaire ? --GaAs (d) 6 septembre 2012 à 11:12 (CEST)[répondre]
D'un point de vue purement esthétique, le mettre dans Notes et références, c'est assez moche, car le modèle "Références" produit une liste numérotée, tandis que le modèle "traduction/référence" produit une puce de liste à puces. Quoi qu'il en soit, quelle que soit la solution retenue, ce serait bien de mettre une recommandation dans la page d'aide du modèle "traduction/Référence", pour que l'on sache. --MathsPoetry (d) 6 septembre 2012 à 13:45 (CEST)[répondre]
Puisque je passe : je suis assez d'accord avec Martin, au contraire de GaAs : wikipédia n'est pas une source, cet avertissement constitue donc juste un outil pour créditer les auteurs. A ce titre, à mon avis, ce modèle n'est pas assimilable à une note ni une référence ni à une source au sens de wp:citez vos sources. Je me demande si on ne pourrait envisager un titre de section en fin d'article du genre « == Crédit == » ou « == Crédit de traduction == », après la section Bibliographie ou, le cas échéant la section Sources. Enfin, c'est mon avis. Mogador ✉6 septembre 2012 à 13:59 (CEST)[répondre]
Évidemment une section « Notes et références » n'est pas seulement plus proche d'une section « Sources », mais précise en termes de contenu référencé un article qui est censé avoir dépassé le stade de simple ébauche. Qu'un tel article soit agrémenté d'une section bibliographique va de soi comme dans les ouvrages sérieux d'universitaires spécialisés sur un sujet donné. Quant à la question in fine de recopier un article de en.WP pour le translater ici (en précisant son origine pour ne pas risquer le copyvio), c'est un autre problème et bien sûr, je donne raison à Mogador quand il s'agit des sources. Celles-ci étant censées créditer le contenu de l'article, pas simplement sa provenance. En gros le travail de traducteur ici ne peut faire l'économie de la recherche documentaire ou de la vérification des sources. Je sais qu'en on pointe vers là (ce n'est pas Mogador qui va me contredire), c'est très dissuassif pour beaucoup d'entre-nous de collaborer ici, tellement c'est véritablement le gros du boulot en termes de restitution de la connaissance et du savoir. Et puis les sources qualitatives ne sont pas forcément toutes disponibles sur le Web, exploitables à souhait. C'est le point faible de notre wiki en l'état, celui de l'accessibilité gratuite et aisée aux sources. Pour le reste, je fais confiance aux wikipédiens. GLec (d) 6 septembre 2012 à 14:20 (CEST)[répondre]
@Martin: merci pour le truc ! On peut toutefois se demander pourquoi c'est un paramètre facultatif, s'il correspond au fonctionnement normal...
100 % d'accord avec Mogador : un crédit d'auteurs n'est pas une source, "Notes et références" ne me semble donc pas approprié. La solution que j'avais trouvé est donc de le mettre en "Articles connexes". Après tout, c'est un article connexe de la wikipédia, dans une autre langue, c'est tout. --MathsPoetry (d) 6 septembre 2012 à 14:26 (CEST)[répondre]
Un jour il y aura un meurtre et l'accusé déclarera devant le juge : « Mais, Votre Honneur, il ne rangeait pas les sections de fin d'article de Wikipédia comme il faut ! » Sans rire, d'ordinaire je déteste les gens qui disent ça avec un petite note de mépris dans la voix, mais là je me pose sincèrement la question : vous n'avez vraiment rien de mieux à faire ? – Swa cwæð Ælfgar (d) 6 septembre 2012 à 15:18 (CEST)[répondre]
Ælfgar, on se calme (le Bistro doit vivre). Ceci dit, pour éviter cet éventel évènement dans cette sphère qui fait dans le virtuel et non IRL, il faut bien lire le contenu de la la section ci-dessous qui ne fait pas dans l'anodin, mais dans le comble. Cela devrait dissuader. GLec (d) 6 septembre 2012 à 15:28 (CEST)[répondre]
C'est pourtant une vraie question qui mérite une vraie réponse. Mais on n'est pas pressé. Ceci dit, c'est une drôle d'idée que de s'imaginer que cerner en quelques échanges un problème tout en faisant autre chose c'est perdre son temps. A titre de d'avis, quelqu'un (qui a du temps à perdre ) a--t-il une remarque ou une prévention à l'égard de la proposition de type === Crédit de traduction === ? Mogador ✉6 septembre 2012 à 16:00 (CEST)[répondre]
Wikipédia, ou l'art de vouloir changer quelque chose quand tout va bien. À titre personnel, j'ai toujours publié dans la section Notes et références, et c'est bien ainsi. JÄNNICK Jérémy (d) 6 septembre 2012 à 16:22 (CEST)[répondre]
Bah, si vous dites que tout va bien... Des sources qui n'en sont pas en références alors que ce n'en n'est pas. Il faudra penser à changer cela, comme ça tout ira encore mieux. Désolé d'avoir dérangé par des réflexions aussi saugrenues. Mogador ✉6 septembre 2012 à 17:27 (CEST)[répondre]
<Sans vous empêcher d'intervenir ici> Jérémy ok en tant que quelque part témoignage de premier de la classe et vous êtes apprécié dans le wiki, y a pas de souci. Mais, il y beaucoup d'autres wikipédiens qui sont des gens biens ici en modestie qui ne s'expriment pas dans ce Bistro. Évidemment, en comparaison, je fais partie des garnements qui font dans les quatre cent coups, des gamins quoi, mais pas vraiment des voyous. Peut-on changer à un grand âge IRL quelqu'un dont ses plus heureuses et tendres années étaient consacrées aux quatre cents coups au grand dam de la mère, du père et du voisinage le tout encaserné . Aujourd'hui, ça fait sourire, mais quelque part c'est salutaire.... Respect à tous et à toutes, donc. GLec (d) 6 septembre 2012 à 16:41 (CEST)</Sans vous empêcher d'intervenir ici>[répondre]
Je traduis régulièrement des articles de la Wikipédia en anglais. Puisque je reprends souvent son plan et ses références, l'article m'inspire, comme une source. Ceci écrit, j'en viens à la conclusion que c'est plutôt une note à l'intention du lecteur. Le crédit va donc dans la section == Notes et références ==, mais il faut déplacer ce crédit dans la sous-section === Notes === si elle existe. — Cantons-de-l'Est6 septembre 2012 à 17:31 (CEST)[répondre]
Non, mais mentionner l'origine de la traduction sur la page principale est probablement le meilleur moyen de s'assurer que la licence ait le plus de chance possible d'être respectée en cas de réutilisation du contenu.
Je n'aime pas non plus ce modèle en fin d'article, mais l'argument de GaAs m'a convaincu que c'est nécessaire.
Pour ceux ou celles qui déchiffrent le glécien, ce genre d'article que l'on trouve sur le Web fait froid dans le dos. Non! Wikipédia n'est pas un expert ou un centre d'expertise pour soulager les justices (au moins en France à ma connaissance), mais simplement un projet encyclopédique libre fait par des bénévoles. Que va donner la génération Wikipédia si des instances officielles ici où ailleurs détournent déjà Wikipédia de son but qui est d'abord de rester elle-même, un projet encyclopédique? GLec (d) 6 septembre 2012 à 09:46 (CEST) Pour ma part, je ne range pas Wikipédia dans la catégorie fourre-tout « médias sociaux », mais « Encyclopédie » et ses déclinaisons qui devraient évoluer au fil du temps.[répondre]
Tout à fait d'accord avec toi. C'est d'ailleurs un média presque asocial. Je pense que les juges savent ce qu'ils font, et que s'ils ont accepté ces preuve c'est en connaissance de cause, ou parce qu'il y avait accord des deux parties pour s'entendre sur la définition donnée, sans aucun risque que l'une des parties ait modifié le texte avant de le présenter. v_atekor (d) 6 septembre 2012 à 10:32 (CEST)[répondre]
T'es pas tout seul ici et d'autres peuvent avoir un avis intéressant concernant ce sujet, qui ne laisse pas indifférent quand même . GLec (d) 6 septembre 2012 à 10:55 (CEST)[répondre]
Le sujet est suffisamment important pour en parler dans le Bistro sans censure (à défaut de comité de rédaction ici, et c'est bienheureux) et librement. Si ce n'est pas aujourd'hui, ce sera de toute façon demain. Et demain, c'est déjà aujourd'hui. Alors... GLec (d) 6 septembre 2012 à 11:21 (CEST)[répondre]
Merci de nous faire part sur le « Bistro » de cette coupure de presse ou de ce média qui parle de Wikipédia ou qui en reprend le contenu. Savez-vous qu'il existe également une page Wikipédia:Revue de presse ? Il serait judicieux d'aller y reporter également cette information. Si la personne qui recopie le Bistro n'est pas celle qui y a posté l'information, ne pas oublier de créditer cette dernière dans le résumé.
Je ne vois pas de problème majeur avec ce qu'expose Glec. L'avocat risquerait gros s'il commençait à citer en cours des trucs invérifiables tirés d'ébauche, de page en conflit ou de son propre édit fait en douce. Wikipédia est aussi fiable qu'une source isolée peut l'être. C'est à dire à peu près pas du tout. Iluvalar (d) 6 septembre 2012 à 17:17 (CEST)[répondre]
Mais de là, à devenir un support d'expertise au nom de la magistrature d'ici ou ailleurs, il y a un grand écart entre projet encyclopédique et site chapeauté (l'un des plus consultés au monde) par les puissants du moments pour faire la pluie et le beau temps chez la grisaille humaine. GLec (d) 6 septembre 2012 à 17:33 (CEST).[répondre]
Article surprenant, j'aurai bien aimé un exemple d'utilisation d'une définition tirée de wikipédia dans le cadre d'un tribunal, histoire de voir quel type d'article était exploité. Mais tout de même, c'est étonnant de constater comment en trois quatre ans un site web est devenu une référence pour une institution réputée, tout de même, pour un conservatisme certain. Cedalyon (d) 6 septembre 2012 à 21:13 (CEST)[répondre]
Dans l'article de www.directioninformatique, on lit vers la fin « un juge devrait consulter les données qui entourent l’article » [de Wikipédia], mais pas un capable de trouver et de consulter les sources données dans les références et la bibliographie de l'article de WP ? Désespérant. --Warp3 (d) 7 septembre 2012 à 05:58 (CEST).[répondre]
Un roman intéressant et le modernisme
Travaillant depuis un an sur ce roman intéressant Augustin ou le Maître est là lié à la Crise moderniste (crise capitale dans l'histoire des idées en France et pas seulement pour les catholiques), je voudrais avoir l'avis d'autres contributeurs sur ce que de très nombreux spécialistes, jusqu'à aujourd'hui, considèrent comme un roman vraiment important et très singulier de Joseph Malègue qui a été et reste (je crois), un "grand de la littérature". Cordialement, Tonval (d) 6 septembre 2012 à 13:40 (CEST)[répondre]
Bonjour. Je ne sais pas pour la littérature mais je sais que la présentation que vous en avez faite dans l'article sur la crise moderniste - pour intéressante qu'elle est - surexpose complètement ce qui n'est qu'un avatar anecdotique - intéressant certes mais parmi beaucoup d'autres dans la crise moderniste... française. Il conviendra ainsi de reporter ces analyses dans l’article sur le roman, de remettre l'article dans une version plus généraliste qu'il présentait auparavant et de le mentionner brièvement cet auteur et son ouvrage dans l'article sur la CM. En effet, je ne trouve aucun chercheur significatif qui le décrit comme paradigmatique des évènements et c'est sans commune mesure avec Loisy ou Tyrell. Je vous signale, si vous ne le connaissez pas, l'ouvrage bien fait de Maurillo Guasco Le modernisme. Les faits, les idées les hommes, éd. desclée de Brouwère, 2007, dont voici une recension. Cordialement, Mogador ✉6 septembre 2012 à 14:18 (CEST)[répondre]
J'ai rapidement survolé cet article qui témoigne effectivement d'un travail impressionnant. En revanche, en dehors de choix de mise en forme peu habituels pour wikipedia, je dirais que l'article manque un brin de neutralité : je veux bien que la comparaison de l'oeuvre de Malègue (que je ne connaissais pas du tout) avec celle de Proust soit pertinente et consensuelle, mais les analyses qui la fondent semblent tout de même le fait de commentateurs qui ne font pas autorité dans la critique littéraire (Jacques Vier, qui publie aux éditions du cèdre ; Jean Lebrec, aux éditions Dessain et tolra ; Dom Germain Varin, aux éditions St Paul...) Quant à l'avis de Léopold Levaux, pour qui elle est supérieure à celles de François Mauriac et de Georges Bernanos, je ne crois pas beaucoup m'avancer en disant qu'il est ultra-minoritaire (et ce qu'en dit Victor Brombert ne va pas forcément dans le même sens : l'intelligence humaine est encore moins respectée chez Flaubert, cela n'en fait pas pour autant un écrivain mineur.) Surtout, en dehors du fait que la majorité des critiques cités appartiennent à un milieu bien précis (le catholicisme, voire l'intégrisme catholique), ce qui me gêne, c'est que l'article ne tient pas compte des périodes au cours desquelles ont été formulés ces avis : en effet, à l'époque de la parution du roman, il semble que l'audience de Malègue était nettement plus importante qu'elle ne l'est devenue par la suite, et que des commentateurs moins confidentiels se soient penchés sur son œuvre. Mais depuis, cette notoriété semble s'être nettement restreinte ; et l'article devrait, sinon le dire (s'il n'y a pas de sources pour le confirmer), du moins le laisser entendre, plutôt que d'empiler une liste quasi-exhaustive et non-hiérarchisée des commentaires écrits sur Augustin. Je comprends votre volonté de réhabiliter une œuvre qui vous semble injustement méconnue, mais je ne suis pas sûr que la manière dont vous vous y prenez soit forcément la plus efficace.
Sinon, à quelques endroits, il me semble que votre foi se manifeste de façon un peu trop explicite (je pense notamment à la mention du Cantique des Cantiques, « où est merveilleusement chanté l'amour humain ».)
Je lirai cet article plus attentivement quand j'en aurai le temps, et je retiens d'ores et déjà les noms de Malègue et d'Augustin, parce que vous avez éveillé ma curiosité.--Masque-sur-Mesure (d) 6 septembre 2012 à 18:47 (CEST)[répondre]
Crise moderniste (Quelque chose n'ayant pas fonctionné et c'est sans doute de ma responsabilité, je ne trouve ces avis que ce 21 septembre. Je m'en excuse d'autant plus qu'ils sont tout à fait intéressants et qu'ils ont demandé que leurs auteurs s'investissent. Je leur présente mes excuses, s'ils ont pu paraître dédaignés, c'est involontaire de ma part...). Sur la crise moderniste, si Émile Poulat a toujours ignoré Malègue, il n'en va pas de même d' Émile Goichot qui en est aussi un spécialiste reconnu. Il faudrait ajouter à cela qu'il a existé une importante correspondance entre Maurice Blondel (philosophe) et Malègue considérée par une spécialiste de Blondel comme ayant écrit un roman blondélien (mais elle ne donne que quelques éléments de la correspondance elle-même). D'autres spécialistes peuvent encore être cités comme Roger Aubert (parlant surtout de la conception de l'Acte de foi chez Malègue mais dans le contexte de la crise moderniste), Pierre Colin auteur d'un ouvrage important sur le sujet et qui, de fait, présente le cas fictif d'Augustin (analogue à celui de Prosper Alfaric) comme emblématique des deux dimensions intellectuelles de la crise en France (philosophique et exégétique). Si Poulat juge les romans sur le modernisme inintéressants, ce n'est pas le cas de Goichot ni non plus de Charles Moeller (il n'est pas le seul à considérer Jean Barois et Augustin ou le Maître est là comme emblématique de deux façons d'aborder la croyance et l'incroyance, ce qui dépasse certes la crise moderniste mais s'y enracine : on parle d'ailleurs assez peu de ce que l'on pourrait appeler le modernisme radical comme celui de Marcel Hébert devenu quasiment un athée ou Albert Houtin par contraste avec Loisy dont la position est très malaisé à définir, qui semble parfois pas si éloigné de Blondel bref....). Je me rends compte qu'il faut lire aussi Guasco. L'avis d'Alfred Loisy sur Malègue est très négatif, mais il a pris le temps de lire le livre. De même que Jean Guitton par exemple... Il est vrai que François Laplanche dans la crise de l'origine, Albin Michel, 2004, ne cite que très peu Malègue. Ce qui m'a semblé déterminant, c'est l'avis de Goichot selon lequel la crise moderniste était ignorée du grand public cultivé en France et qu'elle n'a été connue de ce public d'abord qu'à travers la littérature. Je ne demanderais pas mieux que de collaborer à une restructuration de la page sur la Crise moderniste que je crois commencer à comprendre vraiment mais ce travail a de quoi faire peur et il me semble que c'est impossible de le faire autrement qu'à plusieurs. J'insiste quand même sur un point tellement il arrive que les scrupules wikipédiens sont grands sur ce point. En bien des cas, ce que l'on peut penser comme spécifique de la France ne l'est pas. Mais dans d'autres cas, si. La crise moderniste est bien une crise typiquement française. Poulat la situe bien dans le cadre français, sans certes oublier les grands modernistes d'autres pays, mais qui semblent tous liés à la crise française. Goichot qui a étudié le modernisme italien le distingue du français en considérant le premier comme d'abord "social" et le deuxième comme surtout "intellectuel" (philosophique et théologique). Je pense aussi que dans la page, l'énorme chronologie (bien faite), devrait être fort abrégée, même si, encore une fois, on peut dire (avec tous ses spécialistes - Laplanche est impressionnant à cet égard - qu'elle explique aussi la crise plus récente du catholicisme, d'où son intérêt qui, ici, n'est plus seulment "français"). Merci à Mogador avec lequel je suis d'accord sur la place des écrivains dans cette page mais avec les nuances que je fais ici : à mon sens cette présence des écrivains doit être signalée assez substantiellement, peut-être pas autant que présentement. Tonval (d) 21 septembre 2012 à 11:11 (CEST)[répondre]
On devrait dire que pour éviter le caractère trop franco-centré il fait ici montrer que la crise est française et surtout française. Je me demande par exemple quel sens il y a à parler de modernisme dans l'islam, le judaïsme, à moins, alors, de parler du travail sur les textes sacrés, mais le modernisme disons "français" ne se résume pas à cela... Tonval (d) 21 septembre 2012 à 13:55 (CEST)[répondre]
Quant à la valeur littéraire de Malègue, il y a de quoi se poser des questions, oui, c'est juste, cher Masque-sur-mesure. De fait, les grands critiques littéraires français (et d'autres pays) l'ont célébré lors de la parution d' Augustin en 1933. Il y a quasiment une unanimité dans des éloges qui vont loin. Il faut noter cependant que 25 ans plus tard (en 1958 et 1959, lors de la parution du deuxième roman - inachevé - de Malègue Pierres noires. Les classes moyennes du Salut et alors que Malègue est mort depuis 18 ans, que presque personne n'en parle plus... - il n'y a presque rien sur lui entre 1945 et 1958) , la même unanimité se reproduit, peut-être d'ailleurs surtout sur la comparaison avec Proust (Pierre-Henri Simon, Jacques Madaule, Pierre de Boisdeffre, Charles Moeller puis Lebrec, Vier, Léon Émery etc.). Le Monde et son critique littéraire d'alors fit de même posant d'ailleurs la question de la postérité de Malègue. Bien que cela ne concerne que moi, j'avoue que bien qu'ayant lu beaucoup de romanciers catholiques, c'est vraiment par hasard que j'ai découvert Malègue : je ne comprenais pas pourquoi Charles Moeller dans le volume La foi en Jésus-Christ de la série d'ouvrages qu'il a écrit Littérature du XXe siècle et christianisme (1967) lui consacrait autant d'importance. Pour moi, Malègue a été longtemps un parfait inconnu. L' intelligence maltraitée doit se comprendre ici dans une perspective disons théologique et par comparaison seulement avec des romanciers chrétiens qui cultivent (c'est peut-être plus vrai pour Bernanos), une sorte de mépris pour la réflexion philosophique ou théologique, en tout cas ne l'honorent pas. De ce point de vue, Malègue a quelque chose d'unique : même si c'est particulier au monde chrétien, il est assez rare que des théologiens (Paul Doncoeur, Roger Aubert ou des philosophes comme Blondel, Jean Wahl), accordent de l'importance à un écrivain de fiction (certes, il y a Hans Urs von Balthasar pour Bernanos). Et Malègue est très différent aussi des deux écrivains emblématiques sur le rapport à la sexualité qui est chez lui totalement décrispé. Une critique récente (1996) m'a tout de même impressionné c'est celle de G.Mosseray qui montre bien que la trame philosophique du roman de Malègue (très ingénieusement fondue dans l'intrigue, ce qui fait qu'elle ne s'aperçoit pas, à la limite), est d'une solidité, d'une souplesse quand même peu ordinaire et adaptée à un roman. Personne par exemple n'a jamais osé décrire le parcours philosophique d'Augustin qui traverse très réellement Aristote, Bergson, Blondel, Durkheim, Comte, Pascal, James, Boutroux, Delbos, Lachelier, Kant... Ce n'est pas étonnant que Blondel ait correspondu si abondamment avec Malègue (car si je lis G.Mosseray, c'est vraiment important). L'ouvrage de W.Marceau (Bergson et Malègue), bien que publié à la Stanford university en 1987 est, lui, un peu décevant. Les avis sur Malègue et d'importants critiques sont toujours donc là en 1958 et 1959, Moeller est pour moi important (mais je sais que l'on peut être d'un autre avis), en 1967. N'y a-t-il pas là alors, ensuite, une usure normale pour l'écrivain d'un seul livre publié de son vivant et chez un éditeur moins important que Gallimard (qui s'est proposé d'éditer Malègue peu avant sa mort, ce serait à source et peut l'être). La destinée ou la postérité de Malègue ne souffre-t-elle pas d'handicaps non liés à la valeur de l'œuvre elle-même (le prix secondaire C.Virenque au lieu du Fémina qu'il pouvait obtenir, la parution chez un éditeur moins important que Gallimard, le succès venu à 60 ans qui ne peut pas se confirmer par une autre oeuvre importante - même s'il y a le cas de Alain-Fournier - qui aurait été selon Barthe bien supérieure à Augustin (certes, c'est une supposition, mais l'ouvrage a tout de même 900 pages) , l'absence dans le livre de poche [ces éléments sont souvent sourçables]. Je suis presque sûr que l'ouvrage a été publié à bien plus que 84.000 exemplaires dans la mesure où j'ai déjà eu sous la main des éditions aux formats très différents de ceux recensés, mais il n'y a pas de sources secondaires sur cela. Au demeurant, on continue à étudier Malègue en ce siècle où je compte deux colloques et une dizaine d'articles ou chapitres de livres jusqu'à l'an passé, des traces sur internet peut-être parfois signifuactives. Vous n'êtes pas le premier qui me parle de ma foi à propos du "merveilleusement" (que j'ai retiré depuis), sur le Cantique des Cantiques, mais ce n'est faire preuve que de goût poétique je pense, ce livre de la Bible étant apprécié aussi pour son érotisme (et c'est de cela uniquement qu'il s'agit dans le roman). Mais vous avez raison de dire que la plupart des critiques sont catholiques. Il y en a eu d'autres que des catholiques dans les années 1930 et curieusement quelques-uns depuis Goichot en 1988, notamment Cécile Vanderpelen-Diagre en 2004 et Pauline Bruley en 2011, d'autres... Celle-ci d'ailleurs, étrangement décrit Malègue comme un catholique conservateur ce qui ne me semble pas aller (si c'est sur le plan du dogme) avec quelqu'un qui fréquente Blondel et que les lecteurs protestants ont aimé, qui défendait l'idée de grève ouvrière dans son enseignement. L'abbé Barthe est certainement un prêtre traditionaliste. Je dois vous avouer aussi que pratiquement toutes les critiques citées dans la page, je n'en ai fait la connaissance, petit à petit, que depuis juin 2011, j'ignorais complètement la plupart de ces études qui semblent avoir été rédigées de manière très dispersée, dans des pays et langues différents, des maisons d'édition et des revues fort disparates (même en espagnol et allemand, mais je n'ai pas encore pu les lire ou me les procurer). En rédigeant la page au départ, je n'en connaissais que quelques unes. L'un de mes étonnements c'est de les avoir trouvées au fur et à mesure que cette page se construisait (d'où peut-être le trop grand nombre de critiques citées? Le problème, c'est qu'il n'existe pas, assez normalement, quelque chose comme un "état de la question" faisant autorité, tout est dispersé). Je tiens évidemment compte de votre remarque sur la neutralité et vais m'efforcer de situer la remarque de Léopold Levaux, de même que la comparaison avec Proust (effectivement très récurrente qui est peut-être à l'origine d'un éloignement de Malègue, c'est ce que dit Cécile Vanderpelen-Diagre très dure pour le monde catholique de Malègue et qu'elle prend comme un document sûr dans la mesure où il est "proustien" - une surabondance d'enregistrements - , où il est une sorte de phénoménologie de l'existence chrétienne ordinaire - avec ses fermetures et ses défauts - telle qu'elle subsiste encore aujourd'hui encore un peu, sans doute). En toute hypothèse, merci pour votre avis qui, avec l'avis de Mogador m'est très précieux. Enfin, Malègue peut pâtir de la réputation qui lui a été faite parfois d'être un auteur de romans édifiants, ce que combattent le bon sens et aussi ceux qui l'ont lu (notamment la critique italienne Wanda Rupolo en 1985 traduite en 1989). Cordialement, Tonval (d) 21 septembre 2012 à 13:47 (CEST)[répondre]
Difficulté aussi d'un roman catholique, surtout du type de celui de Malègue si catholique (en un certain sens), si enfoncé dans ce monde-là qu'il peut sembler lui être réservé de sorte que la "mimésis 3" (Ricoeur dit que l'œuvre d'art est une imitation/mimésis en 1 (potentiellement ou virtuellement dans le réel), en 2 (dans l'œuvre), et 3 (dans son herméneutique sa réception). La mimésis 3 de Malègue est à 90% catholique (mais aussi protestante), et de plus sur les pays traditionnellement francophones hors de France (Suisse romande, Wallonie et Bruxelles, Québec). Merci, Tonval (d) 21 septembre 2012 à 14:08 (CEST)[répondre]
Dysenterie - Histoire
Bonjour,
A la fin du paragraphe "Histoire" sur la Dysenterie vous écrivez :
... La femme du roi Gontran tombe malade et meurt également, avant de demander au roi ...
Elle n'a donc rien demandé puisqu'elle est morte "avant de demander".
Je pense que le rédacteur avait plutôt l'intention d'écrire : "après avoir demandé"
Cordialement
MB
...La femme du roi Gontran tombe malade et meurt également, après avoir de demander au roi...
Les reines qui meurent en demandant des trucs - genre tirade à n'en plus finir - c'est courant dans les opéras, j'vois pas ce que vous trouvez à y redire Thib Phil (d) 6 septembre 2012 à 17:39 (CEST)[répondre]
Les deux ne me semblent pas incompatibles. Quelqu'un d'origine portugaise, par exemple, peut très bien écrire un article sur la présence de ses homologues parmi les célébrités françaises, mû par la fierté et la revendication de ses origines. On peut débattre de l'intérêt d'un tel article, mais sourcé il n'est pas fondamentalement non encyclopédique. Miuki (d) 6 septembre 2012 à 05:35 (CEST)[répondre]
Mais encore faut-il que l'intitulé ait un rapport avec le contenu de l'article. Comme il est expliqué plus, haut, avec un titre pareil, on ne sait pas de quoi va parler la page. Des troupes italiennes en France pendant la deuxième guerre mondiale ou des touristes? Et encore une fois, c'est une liste ethnique, quoi qu'en disent mes chers contradicteurs. D'ailleurs, il est à noter qu'une partie d'entre eux dément qu'il puisse s'agir d'une liste ethnique, tandis que l'autre affirme que c'en est bien une mais que ce n'est pas choquant. Déjà, si ils pouvaient se mettre d'accord là dessus... Cordialement. Bastien Sens-Méyé (d) 6 septembre 2012 à 16:02 (CEST)[répondre]
↑Sinon ça concerne les cons=connard alors que ce sont les cons=sexes féminins (grand classique des contrepèteries), ça ne s'articule plus avec la suite
↑Et pourquoi on ne pourrait pas délasser (relaxer) un sexe féminin ? Bon ok, historiquement, tu as raison.
Il y a une erreur ou je ne sais pas lire le tableau ?
Non parce que je vois bien, quand même, qu'il a été dialoguiste de L'Enfer et Diabolique (avant-dernière ligne, deux derniers films). Seulement HGC est mort en 1977 et les films datent des années 1990 ! Je vois aussi que c'est un remake, ce qui ne veut pas dire qu'il n'a pas participé au film, ce qui est pourtant évident.
Je suggère qu'on déplace ces deux films dans la dernière ligne, voir aussi.
Non, ce n'est pas forcément faux. Un scénario peut être utilisé après la mort de son auteur, non ? Tu m'aurais dit "il est mort 3 ans avant le tournage, donc il ne peut pas le réaliser/tourner le premier rôle/maquiller la star", ok. Mais un scénario, ou un livre, c'est plutôt facile à utiliser même si l'auteur est mort...--SammyDay (d) 6 septembre 2012 à 17:45 (CEST)[répondre]
Bonjour ! Ce n'est pas une contrepèterie. Je viens d'écrire dans une discussion qu'il fallait retenir qu'« un article bien construit et bien écrit était plus résistant aux détériorations ». Bien que j'en sois convaincu par intuition et par optimisme, ça reste de l'adage à l'état naissant. Si quelqu'un avait une expérience en ce sens (ou contraire), ça me serait bien utile et peut-être à beaucoup d'autres. On parle peut-être d'un tel effet pour les AdQ, mais à part ces cas ?
Expérience personnelle : Liste des artistes ayant vendu le plus de disques, ou Liste de personnalités assassinées, tous deux articles étant passés par des PàS, retravaillés, et bien surveillés désormais, sont plus résistants aux ajouts d'informations non valables, et permettent de prendre du temps pour examiner ces ajouts en cas de doute. Bien entendu, les articles restent perfectibles, mais tendent plus facilement vers une amélioration du moment qu'ils sont bien cadrés par leur rédaction, et bien surveillés par différents contributeurs qui sont d'accord avec la manière dont sont gérées les modifications suivantes. Les BA et AdQ sont plus faciles à surveiller, car leur cadre est bien défini, et leur contenu déjà exhaustif.--SammyDay (d) 6 septembre 2012 à 17:39 (CEST)[répondre]
Cherchez hôtel-de-ville sur WP [4], 1er résultat = Mairie (bien franco-centré àmha puisque mairie = après 1789...), redirigé depuis Hôtel-de-Ville mais qui offre en article connexe : Hôtel de ville, càd ce que vous cherchez au départ et qui n'apparait pas dans les 20 premiers résultats de la recherche. Quelqu'un(e) pour améliorer ? Merci déjà, Égoïté (d) 6 septembre 2012 à 17:25 (CEST) très pressée.[répondre]
Ben si tu fais une recherche avec des tirets, et que tu essaie de trouver un mot sans tiret, c'est pas plutôt toi qui ne sait pas utiliser le moteur de recherche ? Ceci dit sans vouloir t'offenser, car j'ai déjà eu le même problème. La meilleure façon de faire, c'est utiliser le modèle {{Autre}} et ses amis.--SammyDay (d) 6 septembre 2012 à 17:48 (CEST)[répondre]
Il n'y a aucun raison pour qu'Hôtel-de-Ville redirige vers Mairie si Hôtel de ville existe. C'est manifestement Hôtel de ville, et non Mairie, que l'on recherche quand on saisit Hôtel-de-Ville. D'une manière générale, si deux titres ne diffèrent que par leur casse, les accents ou les traits d'union, ils ne devraient pas rediriger vers des articles différents.
J'ai modifié la redirection. Les modèles du style {{Autre}} n'ont pas lieu d'être ici, les articles connexes sont largement suffisants pour qu'on n'ait pas besoin d'instaurer une usine à gaz. — Hr. Satz6 septembre 2012 à 18:04 (CEST)[répondre]
Je te ferai remarquer tout de même que "Autre" possède un avantage indéniable par rapport aux "articles connexes" : situé juste après le titre, il permet de changer son fusil d'épaule au lieu de se taper tout l'article avant de trouver ce qu'on cherche.--SammyDay (d) 6 septembre 2012 à 18:21 (CEST)[répondre]
SammyDay : c'est vrai, mais qu'est-ce que leurs paramètres sont mal fichus à ces modèles ! C'est pour cela que je les qualifie d'usine à gaz.
Par ailleurs, je pense que « mairie » désigne plutôt l'institution, et « hôtel de ville » l'édifice qui abrite cette institution (l'article Mairie me semble donc largement fautif, « mairie » ne désignant l'édifice que par métonymie). En ce sens, comme il n'y a pas recoupement sémantique au sens strict, ni homonymie, je pense qu'il serait plus approprié d'en parler dans le résumé introductif (c'est-à-dire également en tête d'article, mais introduit de manière plus naturelle) : « La mairie est l'administration chargée de... » puis « Le siège de cette administration est l'hôtel de ville. ». — Hr. Satz6 septembre 2012 à 23:20 (CEST)[répondre]
Visiblement, vous ne fréquentez en France que des communes qui sont des villes pour ne connaître que des hôtels de ville. Faites plus souvent un tour dans la campagne, vous y verrez également de nombreuses mairies (c'est écrit dessus). Père Igor (d) 7 septembre 2012 à 09:03 (CEST)[répondre]
On peut aussi parler d'hôtel de ville pour des communes trop petites pour être appelées villes : c'est idiomatique. Et ce n'est pas parce que c'est écrit dessus que cela désigne l'édifice. Au contraire, il est tout à fait logique que sur un édifice, on y inscrive le nom de l'organisation qui y siège. Allez dans les locaux d'une entreprise, vous y verrez inscrit le nom de l'entreprise ; celui-ci désigne-t-il le local lui-même ? Non certainement pas. En clair, ça ne prouve rien. Quand j'ouvre un dictionnaire, le sens premier de « mairie » est bien l'administration municipale, non le bâtiment qui l'accueille.
Vu le climat du jour dans le Bistro qui ne fait pas dans la joie de vivre, je rappelle qu'il fait encore beau temps dans l'ensemble du territoire métropolitain français. Et j'ose offrir en terrasse une bière, une menthe à l'eau, un lait fraise... selon les conceptions et les âges administratifs. Moi, ce sera cette bière servie bien fraîche, qui fait le tour du monde depuis un certain temps. GLec (d) 6 septembre 2012 à 17:47 (CEST)[répondre]
Tiens donc, t'as bien raison, j'vais faire péter l'bouchon sur ma terrasse à m'détruire les yeux sur le mur que j'viens de chauler. Quand la bouteille sera vide, le soleil sera plus bas et le mur plus ocré. À la tienne ! le sourcier6 septembre 2012 à 18:49 (CEST)[répondre]
Ælfgar fait des bides
Apparemment, en ce moment il suffit que je participe à une discussion pour qu'elle s'endorme, donc je lance un appel aux avis éclairés sur les deux questions suivantes, qui concernent des titres d'articles :
Voilà voilà. C'est moins glamour que la robe de mariage à Kathy mais si on pouvait arriver à un consensus sur ces deux discussions ça me ferait plaisir (et accessoirement ça serait chouette pour Wikipédia). – Swa cwæð Ælfgar (d) 6 septembre 2012 à 17:53 (CEST)[répondre]
Bon, franchement, vous voyez quoi pour cet article à part tout reprendre à 0 ? 3 titres de paragraphes vides. Puis des paragraphes constitués uniquement de citations (même pas sûr que ce soit légal d'utiliser le droit de citation comme ça). Des titres de sections aussi POV que « Être adulte, c'est être capable de surmonter ses pulsions » (et qui n'aident pas à savoir ce qu'on y trouvera). Un paragraphe issu de Rousseau (qui avait effectivement dit que la machine à vapeur était un progrès admirable, mais que Facebook pervertit l'Homme ). Puis un paragraphe « La nature de la liberté » entièrement constitué d'une citation d'Unabomber !
Pour ma part, je plussoie un nettoyage au karcher. As tu consulté Utilisateur:Kalki101 ? qui semble être le principal contributeur de cet article ? Mais vu le boulot, si tu as quelques connaissances sur le sujet, reprendre de zéro peut être une option intéressante. Bon courage. Cedalyon (d)
Bonsoir,
Depuis un moment, je me posais la question concernant l'Infobox Musique (artiste) (et pour les infoboxes connexes), pourquoi les images incluses dedans sont aussi petites par rapport à la taille de l'infobox ? L'image, en plus d'être petite, provoque des espaces inutiles entre elle et l'infobox. L'infobox n'a pas à être aussi grande (26px) ; selon moi, 23-24px maximum suffiraient amplement. Si quelqu'un pouvait éclairer ma lanterne... - Symbolium[suggestion ?]6 septembre 2012 à 21:32 (CEST)[répondre]
Ce sont des em, non des px (ceci fait 26 px : ). Il faudrait demander à Lgd (cf [5]), mais c’est pour le moment impossible ; pour info : c’est par défaut 25em. — LtrlG☎, le 6 septembre 2012 à 21:42 (CEST)[répondre]