Web Language Lab
Le Web Language Lab, souvent désigné par WLL, est un laboratoire de langues numérique en ligne, multilingue et accessible à tout public sur Internet. Il a été créé au cours de l'été 2000 sur une idée originale de Robert Tuffigo, professeur agrégé d'anglais à la retraite[1], avec la contribution d'Etienne Chevillard, ancien étudiant en informatique et aujourd'hui informaticien[1]. Caractéristiques techniques du Web Language LabLe Web Language Lab est développé avec :
ContenuOrganisation et fonctionnementLe Web Language Lab se compose :
Chaque page du site est accessible en français, en anglais ou en breton. La traduction en breton a été réalisée par l'association An Drouizig. Zone d'apprentissageLa zone d'apprentissage ou Learning zone est destinée aux élèves et aux étudiants de tous âges. Elle se compose de 5 pages :
Au premier , la zone d'apprentissage propose 103 cours. La majorité de ces cours est en anglais des États-Unis. Zone d'enseignementLa zone d'enseignement ou Teaching zone permet aux enseignants de réaliser des cours de langue, à partir d'un texte et de l'enregistrement audio associé. Ce travail de production nécessite le téléchargement de l'éditeur de cours WLLedit. Cette zone comporte 4 pages :
Couverture thématiqueLes cours réalisés pour le Web Language Lab s'inspirent de l'actualité. Les thèmes suivants sont ainsi abordés :
Autres formes du Web Language LabLe Web Language Lab se présente aussi sous la forme d'un CD-Rom ou d'une clé USB de démonstration, permettant de tester le site en mode hors-ligne, à la manière d'une application portable. L'intégralité des cours proposés peut ainsi être utilisée sur un poste de travail sans connexion à Internet. StatistiquesLe 100e cours a été créé par Robert Tuffigo le : Cours "Lottery" Le Web Language Lab a passé le cap des 10 000 visiteurs (nombre de visites uniques sur la Zone d'apprentissage) au début de l'année 2004. Le cap des 100 000 visiteurs a été franchi le . En 2010, une moyenne de 100 000 pages sont téléchargées chaque mois sur WLL, pour 1,3 Go de trafic. Le record a été atteint en février 2010, avec 277 641 pages téléchargées et 3 Go de trafic. AnnexesArticles connexesLiens externesNotes et références |