Titulaire d’une maîtrise en psychologie clinique obtenue en 2003 et ancien technicien cordiste, Vincent Mignerot a publié des essais, notamment sur le risque écologique, et fondé « Adrastia », une association qui s'intéresse à ce sujet[4].
Chercheur indépendant, il est membre du groupement de recherche transdisciplinaire « Esthétique, art et science » du CNRS, rattaché à l'université Paris-Descartes[5].
Idées développées dans ses essais
En 2017, France Culture le décrit comme un « catastrophiste convaincu »[6].
Son essai L'Énergie du déni, paru en octobre 2021, est « un plaidoyer contre la transition énergétique », dans lequel il défend l'idée que les énergies vertes seraient un alibi utilisé par les compagnies pétrolières pour poursuivre leur activité d'extraction de combustibles fossiles[7],[8].
Le piège de l'existence : pour une théorie écologique de l'esprit, éditions Solo, 2014 (ISBN978-2-955084-601).
Synesthésie et probabilité conditionnelle : Lire le langage de programmation de l'Univers[10], Éditions Solo, 2014 (ISBN978-2-955084-625).
« Heuraesthesia: When Synaesthesia Fertilizes the Mind » in Aesthetics and Neuroscience, Scientific and Artistic Perspectives (Kapoula, Zoi, Vernet, Marine (eds)), Springer, 2016. (ISBN978-3-319-46233-2)
Transition 2017 : Réformer l'écologie pour nous adapter à la réalité, Éditions Solo, 2017 (ISBN978-2-955084-656).
Participe à l'ouvrage collectif : Collapsus : Changer ou disparaître ? Le vrai bilan sur notre planète, sous la direction de Laurent Aillet et Laurent Testot, éditions Albin Michel, 2020 (ISBN978-2-2264-4897-2).
Participe à l'ouvrage collectif L'Effondrement de l'empire humain : Regards croisés, sous la direction de Manon Commaret et Pierrot Pantel, éditions Rue de l'échiquier, 2020 (ISBN978-2-3742-5240-7).
L’Énergie du déni : Comment la transition énergétique va augmenter les émissions de CO2, éditions Rue de l'échiquier, 2021 (ISBN978-2-3742-5279-7).