Bien qu'il ne s'en soit jamais servi[3], Robin est connu pour les conditions aux limites de Robin, aussi appelées « troisième condition » en référence aux conditions au bord de Dirichlet et de Neumann, habituellement considérées comme les première et seconde conditions en théorie du potentiel.
↑...c’est-à-dire le 7e avant 1860 ; renseignement tiré de Marie-France Bru, Bernard Bru et Salah Eid, « Une introduction analytique à la Théorie analytique. Hermann Laurent (1873) », Electronic Journal for History of Probability and Statistics, vol. 8, (lire en ligne [PDF])
↑Source : « 21 novembre 1897, à dix heures du matin,
Acte de décès de Victor Gustave Robin, célibataire, 42 ans, né à Paris,
docteur ès sciences mathématiques, ancien chargé de cours à la Faculté des sciences, décédé
hier soir à deux heures en son domicile, 19 quai Bourbon. Fils de Ernest Joseph Robin, décédé
et de Marie Sophie Gréer sa veuve... » ; cité par Bru et al., op. cit.
↑ a et bCf. la notice de Karl Gustafson et Takehisa Abe, « (Victor) Gustave Robin: 1855–1897 », The Mathematical Intelligencer, 20e série, no 2, , p. 47–53.
↑D’après Robert C. James et Glenn James, Mathematics Dictionary, Kluwer Academic Publishers, (ISBN0-412-99041-5), p. 363.
↑Cf. la notice de Karl Gustafson, « Domain Decomposition, Operator Trigonometry, Robin Condition », Contemporary Mathematics, no 218, , p. 432-437.
↑D’après The American Naturalist, , « Science Prizes », p. 290
↑D’après Comptes rendus hebdomadaires des séances de l'Académie des sciences, vol. 126, Paris, Gauthier-Villars, janvier – juin 1898, « Tableau des prix décernés. Année 1897 », p. 165