Elle se lance comme pianiste en adoptant le pseudonyme de Valérie Hamilton. Réfugiée à Londres pendant la Seconde Guerre mondiale[3], elle y épouse François-Robert Soudères, d'origine béarnaise, et devient Valérie Soudères[2].
Elle organise des manifestations, comme le festival Honegger en 1953[8]. En , elle intervient à Paris dans le premier congrès international consacré aux aspects sociologiques de la musique à la radio[9],[10].
Suite pour contrebasse et orchestre, six pièces pour contrebasse ou violoncelle et piano (c. 1949, Éditions Costallat)[11].
Menuet-Fantaisie, pour flûte et piano (Durand, Amphion DA 1620) (ISMN 9790230200547)
Écrits
« Sens actuel de la pensée contrapuntique » dans Inventaire des techniques rédactionnelles, Polyphonie, revue musicale, cahiers 9–10, Paris, Richard-Masse 1954 (OCLC41943936), (BNF33438197).
« Les possibilités d'évolution rapide des jeunes compositeurs grâce à la radio », 1955[19].
Bibliographie
Le guide du concert et du disque, no 263–264, 11- : en couverture Valérie Soudères.
Marc Pierret, Entretiens avec Pierre Schaeffer, Paris, Pierre Belfond, , 197 p. (BNF43204377, lire en ligne), Séminaire du Conservatoire. Séance du 21 mai 1969 (extraits). p. 65-71
↑(en) Nigel Simeone, French Music in Wartime London : The Festival of English and French Music and the Concerts de Musique Française, Bangor, University of Wales Bangor, coll. « Monographs in Musicology », , 49 p. (ISBN1-84220-077-1, OCLC159923978), p. 30–32. Indique quelques programmes de concerts londoniens entre 1943 et 1944, limités à la musique française.
↑Franz Adler, Marvin Alisky, Marcel Belvianes et Klaus Blum, Programme du premier congrès international consacré aux aspects sociologiques de la musique à la radio. Paris, 27-30 octobre 1954, Radiodiffusion-télévision française (lire en ligne)