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Le hajj de 2024 est marqué par une vague de décès en raison d'une canicule.
Contexte
Une étude saoudienne publiée en met en garde contre les conséquences du changement climatique sur le pèlerinage, affirmant que les températures sur les lieux où se déroulent les rituels augmentent de 0,4 °C tous les dix ans[1],[2].
Le hajj de 2024 a lieu du 14 et le [3] dans un contexte caniculaire. Les températures atteignent plus de 50 °C avec un pic à 51,8 °C degrés dans la ville sainte de la Mecque[4].
Bilan
De nombreux pèlerins périssent en raison des chaleurs élevées. Le , on rapporte 22 victimes[5]. Le lendemain, le bilan s'alourdit à 577[6], avant de passer à près de 1 000 le [7]. Le , le bilan est de 1300 morts[8]. Nombre d'entre eux se sont écroulés le long des routes[5].
Des milliers d'autres pèlerins subissent des malaises et des cas d'épuisement dus à la chaleur[5].
Des témoignages font état d'une défaillance des autorités. Une pèlerine pakistanaise témoigne avoir « demandé à la sécurité d'appeler une ambulance ou quelque chose de ce genre, mais il n'y avait rien de tel »[5].
L'accès aux installations climatisées mises en place par les autorités saoudiennes est interdit à des milliers de pèlerins qui participent sans avoir payé pour obtenir les visas officiels[24].
Des pèlerins sont restés sans eau, sans nourriture et sans abris pendant de longs moments[évasif][25].
↑(en-GB) Agence France-Presse, « More than 550 hajj pilgrims die in Mecca as temperatures exceed 50C », The Guardian, (ISSN0261-3077, lire en ligne, consulté le )