La ségrégation raciale : les Blancs se considéraient comme supérieur aux Noirs. Cela se voyait par la séparation des quartiers (quartiers blancs et quartiers noirs) et aussi dans le domaine spirituel (illustration pages 53–54).
Thèmes secondaires
La violence se manifeste surtout dans les prisons. Les Noirs étaient maltraités par les Blancs sur leur propre terre. Ils n'avaient aucun traitement de faveur alors qu'ils prônent l'amour du prochain. Le régisseur de prison faisait battre les noirs soupçonnés à tort d'avoir commis un crime de vol.
L'infidélité : Dans le roman, l'infidélité régnait au sein des blancs. Nous pouvons prendre comme exemple la femme du commandant qui le trompait avec le régisseur de prison (illustration pages 101–102).
La religion et la croyance : Ils étaient de religion chrétienne, croyaient en Dieu, assistaient à la messe tous les dimanches.
La solidarité : Les Noirs étaient solidaire entre eux. Cela se remarque pendant l'arrestation de Toundi avec les multiples visites qu'il a eues (illustration pages 174–176).
Éditions
Paris, Julliard, coll. « Les lettres nouvelles », .
Vanves, Éditions classiques d'expression française (EDICEF), coll. « Littérafrique : lecture suivie et dirigée », (ISBN978-2-7531-0358-0).
Notes et références
Bibliographie
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Simon Amegbleame, « Le regard du boy et la conscience du commandant : une lecture d'Une vie de boy de Ferdinand Oyono », dans Susanne Gehrmann (dir.) et János Riesz (dir.), Le blanc du noir : représentations de l'Europe et des Européens dans les littératures africaines (actes d'une conférence organisée à l'Iwalewahaus, Centre culturel africain de l'Université de Bayreuth, – ), Münster, Lit, coll. « Literatur / Forschung und Wissenschaft » (no 2), , 256 p. (ISBN3-8258-6744-7), p. 149–170 [lire en ligne].
Augustine H. Asaah, « Un autre regard sur le pouvoir primordial : rapports pères-enfants dans Une vie de boy de Ferdinand Oyono », Acta Iassyensia Comparationis, Université Alexandru Ioan Cuza de Iași, no 4 « Le Pouvoir », , p. 17–24 (lire en ligne).
(en) Laurie Corbin, « Violent Fathers and Runaway Sons : Colonial Relationships in Une vie de boy and Mission terminée », Studies in 20th Century Literature, New Prairie Press, vol. 27, no 2, , article no 3 (DOI10.4148/2334-4415.1555).
(en) Helen L. Harrison, « Myths and Metaphors of Food in Oyono's Une Vie de boy », The French Review, American Association of Teachers of French, vol. 74, no 5, , p. 924–933 (JSTOR399768).
(en) Babatunde Samuel Moruwawon, « The Trauma of Colonialism in Ferdinand Oyono's Une vie de boy », Michigan Sociological Review, Michigan Sociological Association, vol. 26, , p. 42–57 (JSTOR23292650).
Pierre Vaucher, « Un regard oblique : « L'œil du sorcier » dans Une vie de boy de Ferdinand Oyono », Voix plurielles, vol. 11, no 1, , p. 151–162 (DOI10.26522/vp.v11i1.925).
Sur la traduction du roman
(en) Felix Nkwatta Awung, « Agency in translating Une Vie de Boy into English : exploring translator identity and translation strategies », Stellenbosch Papers in Linguistics Plus, vol. 43, no 1, , p. 17–30 (DOI10.5842/43-0-156).
(en) Felix Nkwatta Awung (sous la dir. de Kobus Marais et Paul F. Bandia), Representing Africa Through Translation : Ferdinand Oyono's Une vie de boy and Le Vieux Nègre et la Médaille in English (thèse de doctorat), Bloemfontein (Afrique du Sud), Department of Linguistics and Language Practice, Faculty of Humanities, University of the Free State, (lire en ligne).
(en) David Chioni Moore, « An African Classic in Fourteen Translations : Ferdinand Oyono's Une vie de boy on the World Literary Stage », Publications of the Modern Language Association of America, Cambridge University Press, vol. 128, no 1, , p. 101–111 (DOI10.1632/pmla.2013.128.1.101, JSTOR23489265).