Hannu Nurmio est le fils de l'avocatViljo Johannes Nurmio (1923–1963), et de Laila Porttinen[1].
Il naît à Helsinki et y vit pendant les premières décennies de sa vie.
Dans les années 1990, Hannu Nurmio habite à Riihimäki, en 2002, il s'installe à Espoo et en 2015 à Helsinki puis retourne à Espoo en 2019[1],[2],[3],[4]
En 1971,Tuomari Nurmio entre à l'Université d'Helsinki et commence des études d'histoire générale, mais il change rapidement pour étudier le droit.
Pendant ses études de droit, il travaille d'abord comme journaliste pour la revue Soihdunkantaja de l'association des étudiants socialistes puis en tant que rédacteur en chef du magazine musical Uusi Laulu.
Au début des années 1980, il décide d'arrêter ses études, mais il reviendra sur sa décision en pensant que "le boulot réalisé serait gaspillé".
Après sa percée musicale, il persévère dans ses études.
Le titre de la thèse de droit était «Interdiction de la torture en droit international»
En 1983, il obtient un baccalauréat universitaire en droit .
Contrairement à ce que l’on dit souvent, il n’a pas effectué un seul jour travail correspondant à ses études[5].
Mais son domaine d'études lui a donné l'idée de son pseudonyme[6](tuomari = le juge).
Discographie
Tuomari Nurmio ja Köyhien ystävät – Kohdusta hautaan (vinyle: Johanna JHN 2001), 1979, (CD: Johanna JHNCD 2001)
Tuomari Nurmio ja Viides kolonna – Maailmanpyörä palaa (Johanna JHN 2009), 1980,
Tuomari Nurmio – Lasten mehuhetki (Johanna JHN 2041), 1981
Tuomari Nurmio – Punainen planeetta (Johanna JHN 3005), 1982
(fi) Jukka Lindfors, Markku Salo ja Raimo Pesonen, Dumari – Kohdusta hautaan ja Paratiisin puutarhaan (biographie musicale), WSOY, , 551 p. (ISBN9789510244968)
↑(fi) Antti Kivimäki, « Juristin asennetta », Alumni. Helsingin yliopiston alumniyhdistys. Jäsenkirje, Helsinki, Helsingin yliopiston alumniyhdistys, , p. 20–24