De fait, la tour du Philosophe est un bon point d'observation pour étudier les éruptions. Situé à 2 920 mètres d'altitude, il s'agit du dernier point accessible par la route.
Le site accueillait autrefois un refuge de montagne, enseveli le , lorsqu'un second cône explosif se constitua en amont du premier[3].
Notes
↑« La tour du Philosophe, construction grecque ou romaine, se compose de quelques assises de laves et de briques » (Félix Bourquelot, « Un mois en Sicile », 1843, in Le Tour du monde, 2e semestre 1860, p. 15 [1])
↑Augustin Joseph Du Pays, Itinéraire descriptif, historique et artistique de l'Italie et de la Sicile, L. Hachette et cie, 1855, p. 714 [2]
↑« L'Etna aujourd'hui : une menace ? », 2004, Banque des Savoirs [3]