Les stipules interpétiolaires sont persistantes et de forme triangulaire.
L'inflorescence est terminale.
Les fleurs comportent un calice persistant à 5-6 dents.
La corolle est grande, voyante, parfumée, de couleur jaune à la base, blanche ou blanc crème à l'extrêmité (jaune après l'anthèse), à 5 lobes, contorsionnés dans le bourgeon.
Les étamines sont exsertes, insérées à l'embouchure de la corolle, avec des anthères dorsifixes.
L'ovaire compte 2 locules, avec de nombreux ovules par locule.
Le fruits est une baie à péricarpe épais et coriace, et contenant de nombreuses graines.
Les graines sont subcompressées, horizontales, englobées dans la pulpe charnue[3].
↑(en) Scott A. Mori, Georges Cremers et Carol Gracie, Guide to the Vascular Plants of Central French Guiana : Part 2. Dicotyledons, vol. 76, New York Botanical Garden Pr Dept, coll. « Memoirs of the New York Botanical Garden », , 776 p. (ISBN978-0-89327-445-0), p. 83
↑(en) Silberbauer-Gottsberger, I., Gottsberger, G. et Ehrendorfer, F., « Hybrid speciation and radiation in the neotropical woody genus Tocoyena (Rubiaceae). », Pl. Syst. Evol., vol. 181, , p. 143–169 (DOI10.1007/BF00937441, lire en ligne)
↑(en) Kent Kainulainen et Birgitta Bremer, « Phylogeny of Euclinia and allied genera of Gardenieae (Rubiaceae), and description of Melanoxerus, an endemic genus of Madagascar », TAXON, vol. 63, no 4, , p. 819–830 (lire en ligne)
↑ a et bJean Baptiste Christian Fusée-Aublet, HISTOIRE DES PLANTES DE LA GUIANE FRANÇOISE, rangées suivant la méthode sexuelle, avec plusieurs mémoires sur les différents objets intéreſſants, relatifs à la culture & au commerce de la Guiane françoiſe, & une Notice des plantes de l'Iſle de France. volume I, Londres et Paris, P.-F. Didot jeune, Librairie de la Faculté de Médecine, quai des Augustins, (lire en ligne), p. 131