Passionnée de théâtre depuis toujours, en 2007-2008, elle fait partie de la distribution, dans le rôle-titre, de Lady in the Dark de Kurt Weill, mis en scène par Jean Lacornerie[4]. Totalement bilingue et francophile, elle est connue et reconnue pour ses reprises de chansons françaises, notamment celles d'Édith Piaf qui font l'objet d'un enregistrement, Tina May sings Piaf.
Elle est emportée par la maladie quelques heures après la fin d'un concert de soutien et d'amitié où se produisent ses collègues britanniques et internationaux au Jazz Club Pizza Express de Dean Street : Norma Winstone, Jacqui Dankworth, Ian Mc Kenzie, Ian Shaw, Peter Churchill, Nikki Isle, Karen Sharp, Pauline Atlan, Patrick Villanueva, etc[5]. C'est un hommage à une personnalité lumineuse, une chanteuse hors norme, une musicienne à l'esprit ouvert, une pédagogue chaleureuse, une parolière subtile, et une artiste aussi à l'aise avec tous sur scène que dans la vie[6].
↑(en) Ian Carr, Digby Fairweather, Brian Priestley et Ian Jazz Carr, The rough guide to jazz, New York ; Londres : Rough Guides, (ISBN978-1-84353-256-9, lire en ligne)