Après la Seconde Guerre mondiale, il a fait partie des 5 000 Polonais de France qui ont décidé de retourner en Pologne pour participer à la reconstruction de leur pays d’origine[4], dans le poumon industriel de la Basse-Silésie[4].
Une fois revenu en Pologne, il a milité au sein du Syndicat des mineurs de Walbrzych[1]. Au début des années 1950, la ville a décidé d’inaugurer une rue en son nom[1].
En octobre 2016, une "loi de décommunisation" promulguée par le gouvernement en Pologne de Andrzej Duda a imposé aux communes de débaptiser les rues et monuments portant le nom de communistes[5] parmi lesquels également Bronislaw Kania, Aleksy Czeredziak, et Roman Piotrowski. Son application est confiée à un "Institut de la mémoire nationale (IPN)" organisme étatique composé d’historiens choisis pour leur anticommunisme[4] et on apprend que six Polonais ayant milité dans l’hexagone contre Franco et Hitler ont été inscrits sur une « liste noire » à Walbrzych[4].
Notes et références
↑ abcde et fArticle de Anne-Lise Teneul le 10 juin 2017 dans La Voix du Nord[1]
↑Site telerama.fr, « On peut aujourd'hui grimper dans le wagon. Entendre les portes crisser. Étouffer de chaleur par une matinée d'été », dans Au camp du Vernet, où l'État français internait « la lie de la terre », article publié le lire (consulté le 13 novembre 2011).
↑ abc et d"Pologne. La mémoire de la Résistance piétinée" le 8 Juillet dans L'Humanité 2017 [3]
↑"Quelques repères" dans La Voix du Nord le 12 septembre 2017 [4]