Vendu à plus de 35000 exemplaires[1], l'ouvrage, plein d'humour[2],[3] et s'opposant aux stéréotypes de genre[4], a fait l'objet de plusieurs analyses en sciences de l'éducation. Pris comme exemple pour illustrer la complémentarité entre texte et image dans les albums de littérature jeunesse[5], il permet d'aborder la thématique du vivre ensemble[6],[7] et constitue un livre approprié pour une classe de CE2[8].
Notes et références
↑Maud Rieu, « Bordeaux : Geoffroy de Pennart, l'homme qui croque le loup et plaît aux enfants », Sud-Ouest,
↑Graziella Deleuze, « Former de futurs instituteurs à la pratique de la lecture de l’album contemporain », Textyles. Revue des lettres belges de langue française, no 57, , p. 125–138 (ISSN0776-0116, DOI10.4000/textyles.3762, lire en ligne, consulté le )
↑Christine Morin-Messabel et Séverine Ferrière, « Chapitre 1. Albums contre-stéréotypés et lecture offerte en Grande Section de Maternelle : mesure de l’impact sur les élèves à travers le dessin et la dictée à l’adulte: », dans À l'école des stéréotypes, L'Harmattan, , 43–74 p. (ISBN978-2-343-00879-0, DOI10.3917/har.boude.2013.01.0043, lire en ligne)
↑Mélina Roullon, La réception de la portée morale d’un conte pour la jeunesse : lecture en
réseau autour de trois albums de jeunesse traitant de la peur de la différence (mémoire de master Métiers de l’Enseignement, de l’Éducation et de la Formation), Nantes, Université de Nantes,
↑Graziella Deleuze, « Questionner la progression à travers la planification et la pratique d’une mise en réseau autour du personnage du loup », Repères. Recherches en didactique du français langue maternelle, no 59, , p. 131–150 (ISSN1157-1330, DOI10.4000/reperes.2076, lire en ligne, consulté le )