Les musiciens du groupe Madagascar All Stars, les six plus grands noms de la musique malgache, tous habitués aux scènes internationales, s'unissent et créent ensemble « un son » pour Madagascar. Ils se mobilisent pour défendre les ressources naturelles de leur île natale. Filmé à une caméra et sans commentaire, le film les accompagne dans l’intimité de la création, au plus proche de la musique en train de se faire[1].
« Il y a dans ce film comme une nécessité : chercher ensemble la beauté »... « La continuité est évidence » avec le précédent documentaire musical de Cesar Paes, Mahaleo, coréalisé avec Raymond Rajaonarivelo en 2005 », selon Olivier Barlet d'Africultures[1].
Pour Léo Pajon de Jeune Afrique, « Songs for Madagascar tente d’appliquer les mêmes recettes » que Buena Vista Social Club ou Benda Bilili! »... « mais sans commentaire, sans véritable fil rouge (sinon celui très lâche de la protection de la nature prônée par les musiciens), on décroche souvent[3]. »
Dans Le Monde, Thomas Sotinel en fait lui aussi une critique mitigée, il regrette un « manque de spontanéité[4] ».