Silueta XSilueta X L'association Silueta X, sa présidente Diane Rodríguez et le président de la République Rafael Correa en .
Silueta X Association est une association équatorienne créée le , et légalement établie le [1]. À but non lucratif, sa mission est de lutter pour les droits pour les personnes LGBTI+ en Équateur (lesbiennes, gays, bisexuels, transgenres, et intersexes). Sa présidente est Diane Marie Rodríguez Zambrano. NomLe mot Silhouette X en espagnol « Silueta X », est de l'invention de Diane Rodríguez. Elle en a donné la signification suivante : « la construction de la sexualité à partir de la propre expérience bio-physique ». Elle désarme le patriarcat : Homme + XY = Silhouette masculine, et Femme + XX = Silhouette féminine, contrairement à son approche : Biologie + Psyché + expériences sexuelles = Silhouette X (Silueta X)[2]. Un chromosome, sans genre défini. HistoriqueEn , Silueta X défend le droit légitime de modifier son nom pour les personnes trans par le biais d'une plainte en justice contre le registre de l'Équateur[3]. En , l'association demande des excuses publiques au média RTS pour avoir outer un participant transgenre à une émission de télé réalité. La chaîne s'excuse publiquement[4]. En , Silueta X établit la première recherche sur l'impact du VIH et de la discrimination dans la population transgenre équatorienne[5]. L'association met en place en une campagne pour l'égalité et contre la discrimination en Équateur. Elle présente plusieurs sujets, notamment le manque d'accès à l'emploi pour les personnes transgenres[6]. Son objectif suivant est de trouver un business model sans LGBTIphobie[7]. Peu après, elle ouvre le premier centre médical LGBTI+ avec un accent particulier sur l'attention envers les personnes trans et intersexes[8]. En plusieurs membres de Silueta X rencontrent le président de la République Rafael Correa, rencontre où différentes actions sont réalisées, comme les enquêtes sur vingt meurtres de personnes LGBTI+ dans le pays[9]. Le même mois l'organisation présente le rapport « Justice - Ils ont mené l'étude » (« Report of the Access to Justice and TILGB Rights from 2010 to 2013 in Ecuador », qui révèle le manque de justice pour les personnes LGBTI+. Sa prochaine étape est la création d'une clinique juridique[10],[11]. En Silueta X réalise à Art Spaces la première exposition photographique sur les droits LGBTI+, dans un des lieux les plus conservateur d'Équateur[12]. Le mois suivant l'association fait une présentation de défense à la municipalité de Cuenca[13]. Notes et références
Voir aussiArticles connexesBibliographie
Lien externe
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