Ce spectacle entièrement chanté composé de 40 artistes dont 8 danseurs est bien accueilli par la presse.
Le Parisien : « [Les] titres phares du spectacle [sont] d'une facture efficace [...], souvent entraînants, avec des chœurs puissants qui vous filent des frissons et vous font battre la mesure, ces titres évoquent la réalisation de soi »[7].
Regard en coulisse : « De la naissance de Siddhartha à son apogée, les tableaux alternent, entre duos touchants (notamment entre le prince enfant et son père) et chœurs puissants, dans un ballet de saris et de tuniques aux mille couleurs. [...] LA figure du spectacle est bien INCA. Remarquable et évident Bouddha, sa voix – aux faux-airs de Balavoine – monte dans les aigus avec puissance et limpidité. À en toucher le Ciel. Charismatique, juste dans son interprétation, d’où se dégagent douceur et bonté, INCA, présent sur le plateau la quasi-totalité du show, le porte sur ses épaules et au bout de ses notes. »[8].