Certaines informations figurant dans cet article ou cette section devraient être mieux reliées aux sources mentionnées dans les sections « Bibliographie », « Sources » ou « Liens externes » ().
Le , le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian a annoncé le lancement du programme de frégate de défense et d'intervention (FDI) - renommée en Frégate de défense et d'intervention - pour la Marine nationale[1], ce programme comprend la première commande ferme du radar Sea Fire 500, déjà proposé par Thales pour les FREMM. Ce radar à faces planes, le premier du genre conçu en Europe occidentale, pourra également être monté sur d'autres plateformes : corvettes, frégates et destroyers de 3 500 à 9 000 tonnes.
Caractéristiques
Il s'articule autour de quatre antennes carrées de 2,5 m de côté, constituées d'éléments en nitrure de gallium. Il est présenté par Thales comme devant surclasser tous ses concurrents internationaux, y compris les AN/SPY-1 et AN/SPY-6 américains en performance pures, et secondé par des solutions numériques d'identification des cibles au meilleur niveau mondial. L'ensemble de la chaîne de traitement et d'acquisition des données est en effet numérique, ce qui permet un bond qualitatif remarquable.
Il est prévu que le Sea Fire 500 puisse assurer la surveillance d'une bulle de 500 km autour des navires porteurs.