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Le mot scatologie est souvent employé en tant que synonyme de la scatophilie (ou coprophilie), terme décrivant à la fois une maladie psychiatrique et une paraphilie consistant à avoir une excitation sexuelle en rapport avec des excréments.
Humour scatologique
« Excusez ma vilaine écriture, la plume est déjà vieille, mais il y a bientôt vingt-deux ans que je chie par le même trou et il n'est même pas encore déchiré, tous les jours je chie dedans et mords la crotte à belles dents », citation de Wolfgang Amadeus Mozart[1], habitué de l'humour scatologique.
François Rabelais utilisait le comique scatologique dans son œuvre. Dans son roman Gargantua, il développe un chapitre entier sur l'invention du « torche-cul »[2].
En musique populaire, des auteurs comme Serge Gainsbourg (Des vents, des pets, des poums, La Poupée qui fait, Eau et gaz à tous les étages), ou encore sa reprise du Constipation Blues de Screamin' Jay Hawkins, ou le groupe Odeurs (Defecation Blues, Couscous Bouletium) s'y adonnent.
Michel Biard et Pascal Dupuy (dir)., Annales historiques de la révolution française, dossier « Entre scatologie et fantasmes sexuels, le cul et son imaginaire », no 361, Armand Colin, 2010.
Jean Feixas, Histoire anecdotique de la scatologie, éditions Liber, 1997.