Sarah Bonar naît le à Aberdeen en Écosse. Elle pratique l'aviron dont elle apprécie le fait de pousser son corps à ses limites, mais est frustrée par son côté individuel. Elle rejoint le Hartpury College, toujours pour y pratiquer l'aviron de haut niveau. Elle fait la connaissance de Danielle Waterman, qui entraine l'équipe féminine de rugby à XV et est alors une joueuse internationale anglaise en activité[2]. Sarah Bonar étudie ensuite la géographie à l'université de Loughborough, elle est alors totalement démotivée par l'aviron, alors qu'elle fait partie de l'équipe nationale des moins de 23 ans et vise une participation aux Jeux olympiques[3]. Toutefois elle ressent le besoin de sport et de compétition. C'est Danielle Waterman qui finit par lui proposer d'essayer le rugby à XV[2] ce que Sarah Bonar fait par curiosité, mais surtout pour voir si l'aviron va lui manquer[3]. Elle joue trois ans sous les couleurs de Lichfield(en)[réf. nécessaire].
Elle fait ses débuts internationaux avec l'Écosse en 2016, lors de la double confrontation contre l'Espagne, qualificative pour la Coupe du monde 2017[1].
Elle joue tous les matchs du Tournoi des Six Nations 2017 et connaît sa première titularisation contre l'Angleterre[1]. Elle est sélectionnée pour la Coupe du monde en Irlande[4] puis s'engage avec le Loughborough Lightning où elle joue trois ans[5].
Sarah Bonar signe ensuite à Gloucester-Hartpury mais elle met le rugby entre parenthèses en 2021, le temps de terminer sa formation à la police de la Royal Air Force[1]. Elle ne joue que quatre rencontres avec les Cherry and White.
Au mois de , les Harlequins la prolongent[8]. À l'automne elle remporte avec l'équipe d’Écosse la première édition du WXV 2[9], en Afrique du Sud[10].
Sélectionnée pour le Tournoi 2024[11], elle se blesse à l'épaule lors de la première journée face au pays de Galles[12]. Elle est opérée et rate le reste de la compétition[13].