Rue Ganneron

18e arrt
Rue Ganneron
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La rue en août 2021.
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Situation
Arrondissement 18e
Quartier Grandes-Carrières
Début 38, avenue de Clichy
Fin 1 bis, rue Étex
Morphologie
Longueur 600 m
Largeur 10 m
Historique
Création XVIIIe siècle
Dénomination
Ancien nom Rue des Carrières
Géocodification
Ville de Paris 3947
DGI 3944
Géolocalisation sur la carte : Paris
(Voir situation sur carte : Paris)
Rue Ganneron
Géolocalisation sur la carte : 18e arrondissement de Paris
(Voir situation sur carte : 18e arrondissement de Paris)
Rue Ganneron
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La rue Ganneron est une voie située dans le quartier des Grandes-Carrières du 18e arrondissement de Paris en France.

Situation et accès

La rue Ganneron débute à l’angle nord du cimetière de Montmartre dans le prolongement de la rue Carpeaux. Elle longe le mur du cimetière jusqu’au milieu du côté sud puis bifurque vers l’avenue de Clichy. Toute la longueur de la rue étroite est à sens unique.

Elle est desservie par la ligne 13 à la station La Fourche.

Origine du nom

Elle porte le nom du banquier et député Auguste Hippolyte Ganneron (1792-1847).

Historique

Cette rue faisait partie des anciennes communes des Batignolles et de Montmartre et est tracée sur le plan cadastral de 1825 sous le nom de « chemin de la Hutte-aux-Gardes ».

Devenue « rue des Carrières », elle est classée dans la voirie parisienne par un décret du puis prend le nom de « rue Ganneron » par un décret du .

Bâtiments remarquables et lieux de mémoire

La rue Ganneron, à proximité du lycée Auguste-Renoir.
  • Au no 24 est implanté le lycée technologique d'Arts appliqués Auguste-Renoir depuis 1993. En 1880 y avait été créée une École professionnelle et ménagère de jeunes filles, puis en 1959 un collège technique de jeunes filles[3].
  • Le no 47 a été le siège de la Mission de Paris, créée en 1943, sur le modèle de la Mission de France, par le cardinal Emmanuel Suhard et destinée spécifiquement à former des prêtres pour la classe ouvrière parisienne. Après la guerre a commencé en ce lieu le mouvement français des prêtres ouvriers[4].

Références

  1. Chronologie du volume I, Romans, Éditions Gallimard, coll. « Bibliothèque de la Pléiade » (ISBN 978-2-07-011000-1), p. LVI.
  2. Jean Marchal, Les vitraux de François Décorchemont, P. Lethielleux éditeur, 2001, p. 16.
  3. www.ecole-lycee-renoir-paris.fr : le mot de la Proviseure
  4. Nathalie Viet-Depaule, La Mission de Paris. Cinq prêtres-ouvriers insoumis témoignent, Éditions Karthala, , 358 p. (lire en ligne).