Du fait qu'il est souvent confisqué par les autorités, le journal est publié sous des noms différents, tels que Glos Pracy (« La Voix du Travail »).
L'autre branche du mouvement syndical, la CGT, opère une riposte[2] en faisant sortir le le premier numéro de Prawo Ludu, autre journal en polonais.
À partir de 1936, le titre Robotnik Polski passe du statut d'hebdomadaire à celui de quotidien, rythme qu'il maintient pendant deux ans, jusqu'à la veille de la Seconde Guerre mondiale. Son nom était alors Dziennik Ludowy.
Janine Ponty, Polonais méconnus : Histoire des travailleurs immigrés en France dans l'entre-deux-guerres, Paris, Publications de la Sorbonne, , 474 p. (ISBN2-85944-536-6, ISSN0768-1984, lire en ligne), p. 201.