Dans Les aventures du baron de Fæneste (III, 22), Agrippa d'Aubigné en fait brièvement un personnage de son dialogue :
« Aussi à propos fut l’opinion du bon homme de Clisson, disant que tout perissoit faute d’user de pimpenelle . – J’y adjouterois de la betoine pour ce que telles herbes purgent les cerveaux, et les esprits seroient plus propres à gouverner. Garigues, autheur de l’Abregé de l’Almanac, contenant trente-quatre mains de papier, vouloit parler. Ce propos fut arresté par Constantin , qui dit en ces termes : Certes, Messieurs, vous me feriez plustost adherer à l’opinion de maistre Gervais, autrement le philosophe de Magné.» (Edition de Prosper Mérimée, p. 204)
Bibliographie
Michel Magnien, « Robert Constantin, éditeur de Jules César Scaliger », Esculape et Dionysos. Mélanges en l'honneur de Jean Céard, Genève, Droz, 2008, p. 1045-1063.