L’œuvre a été censurée en 1825¸ victime d’une politique entamée sous la Restauration depuis 1820[3].
Les larmes du poète
poème en six chants, précédé de souvenirs historiques, Paris, 1838, [lire en ligne], 345 pages ;
Autres ouvrages
Juliette et Dalmor, ou les amants des Cévennes, par Ricard Saint-Hilaire, Paris, chez Lepetit, puis Ch. Pougens, 1795 et 1799, en 2 volumes ;
Le Héros, ode, dédiée à M. le sénateur Boissy-d’Anglas, par Ricard-St-Hilaire, Paris, chez Duprat-Duverger, 1806, [présentation en ligne], 16 pages ;
La Mélancolie, par Ricard Saint-Hilaire, Paris, aux éd. des Marchands de nouveautés, 1807, [présentation en ligne] ;
ce poème a fait l’objet d’une critique virulente dans le Journal de l’Empire du . L’article se termine ainsi : « […] Dira-t-on que nous nous montrons trop sévère ? Avons-nous tort de décourager M. Ricard Saint-Hilaire, de conseiller à un jeune-homme qui semble honnête, de ne pas s’obstiner à rester toute sa vie un mauvais poète, ce qui est la pire des conditions ? N. »[4]
Constantin, tragédie en 5 actes, par M. Ricard de Saint-Hilaire, Paris, imprimerie de A. Appert, 1844, [présentation en ligne], 144 pages ;
↑Fernand Drujon, Catalogue des ouvrages écrits et dessins de toute nature poursuivis, supprimés ou condamnés depuis le 21 octobre 1814 jusqu'au 31 juillet 1877, Paris, E. Rouveyre, (lire en ligne), p. 262 et 277
« Ce roman a été mis à l’index, comme immoral, par mesure de police, en 1825. »
Nicolas-Alexandre Pigoreau, « Ricard Saint-Hilaire », Petite bibliographie biographico-romancière, ou Dictionnaire des romanciers, Paris, chez Pigoreau, 1821, [lire en ligne], p. 297 ;
Michel Nicolas, « Ricard Saint-Hilaire », Histoire littéraire de Nimes et des localités voisines qui forment actuellement le département du Gard,, vol. 1er, Nimes, chez Ballivet et Fabre, 1854, [lire en ligne], p. 308 ;
Joseph-Marie Quérard, « Ricard de Saint-Hilaire », La France littéraire, ou Dictionnaire bibliographique, vol. 12e, suppl. 2, Paris, L’Éditeur, rue des Grands-Augustins, 1859-1864, [lire en ligne], p. 322 ;