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Secrétaire de l'Assemblée nationale, entre 1993 et 2002, puis en 2004 et 2005, il démissionne de la Chambre basse le , à la suite de sa nomination lors du conseil des ministres du , comme conseiller-maître (magistrat) en service extraordinaire à la Cour des comptes, contre l'avis de Philippe Séguin, président de cette juridiction. Cette désignation permet le parachutage électoral dans sa circonscription du ministre Philippe Bas, alors que Guénhaël Huet, successeur de René André à la mairie d'Avranches, s'attendait à obtenir cette investiture.
N'ayant plus de mandat municipal après les municipales de 2008, il quitte les présidences de la communauté de communes et du Pays de la baie du Mont-Saint-Michel au printemps 2008. En 2010, il intègre le bureau du mouvement République solidaire en tant que responsable Entreprises, PME et commerce extérieur.
Il est candidat à Binic (Côtes-d'Armor), ville dont il est résident en [1]. Il est battu par le socialiste Christian Urvoy, obtenant 49,01 % des suffrages exprimés[2].
René André est aujourd'hui conseiller à la Cour des comptes et membre de la commission de la transparence et de la qualité des opérations immobilières de l'État.