Rebecca Shankland obtient un diplôme d’études approfondies de psychologie clinique et psychopathologie à l'Université Paris-Descartes en 2003[1]. Elle réalise son doctorat en présentant en 2007 une thèse intitulée Adaptation des jeunes à l'enseignement supérieur : les pédagogies nouvelles : aide à l'adaptation ou facteur de marginalisation ?[2] à l'Université Paris 8 sous la direction du professeur Serban Ionescu.
Carrière
Elle commence sa carrière en tant que maîtresse de conférence en 2008 au sein du Laboratoire interuniversitaire de psychologie de l'Université Grenoble Alpes[3],[4]. Elle soutient son habilitation à diriger des recherches en 2019 à l'Université Grenoble Alpes sous la supervision de la professeure Céline Baeyens[1]. Elle est également membre de l'Institut Universitaire de France[5].
Travaux
Ses recherches portent sur la psychologie positive et la psychologie du développement et à ce titre son expertise elle est régulièrement sollicitée par les médias[6],[7],[8],[9],[10],[11],[12],[13].
En 2016, son essai Les pouvoirs de la gratitude, publié chez Odile Jacob est bien accueilli par le public et la presse[15],[16],[17].
Elle co-rédige également un livre avec Christophe André intitulé Ces liens qui nous font vivre. Éloge de l’interdépendance, publié en 2020, toujours chez l'éditeur Odile Jacob[18],[19]. Elle est invitée sur différents médias pour le présenter[20],[21].
↑fauvernier-lucien, « Qu’est-ce que la psychologie positive ? », sur Psychologies.com, psychologie, mieux se connaître pour mieux vivre sa vie | Psychologies.com, (consulté le )