La cellule mesure de 25 à 40 µm de diamètre ; elle est recouverte d'écailles en formes de plaquette et d'épine. Les plaquettes de 1,5 à 5,5 µm se composent de deux couches liées à leur périphérie. La plaque interne présente de nombreuses petites perforations et l'externe de 1 à 10 pores de plus grande taille. Les écailles en épine sont de structure et de longueur variables (0,8-12,2 µm) ; l'épine est creuse. Dans le cytoplasme on distingue de gros granules et de grandes vacuoles alimentaires. Les filopodes sont très fins.
s'opposant à l'idée que ce ne soit qu'un synonyme de R. anulifera[2].
Systématique
Thomas Cavalier-Smith regroupe ce genre avec Paraluffisphaera (Paraluffisphaera tuba) dans une famille Rabdiophryidae Cavalier-Smith, 2012[2].
Notes et références
↑(en) Kirill A. Mikrujkov, « Taxonomic revision of scale-bearing heliozoon-like amoebae (Pompholyxophryidae, Rotosphaerida) », Acta Protozoologica, Wydawnictwo Uniwersytetu Jagiellońskiego (d), vol. 38, no 2, , p. 119-131 (ISSN0065-1583 et 1689-0027, lire en ligne).
(en) Esteban, G.F., Gooday, A.J., Clarke, K.J., « Siliceous scales of filose-amoebae (Pompholyxophryidae, Rotosphaerida) from deep Southern Ocean sediments, including first records for the Southern Hemisphere », Polar Biology, Springer Science+Business Media, vol. 30, no 7, , p. 945-950 (ISSN0722-4060 et 1432-2056, DOI10.1007/S00300-007-0280-4).
(en) Kirill A. Mikrujkov, « Taxonomic revision of scale-bearing heliozoon-like amoebae (Pompholyxophryidae, Rotosphaerida) », Acta Protozoologica, Wydawnictwo Uniwersytetu Jagiellońskiego (d), vol. 38, no 2, , p. 119-131 (ISSN0065-1583 et 1689-0027, lire en ligne).