Le plus ancien prieuré est attesté dès les années 1120, c'est le prieuré de Saint-Gilles qui deviendra la prieuré de Provence[1]. Les territoires hospitaliers étaient administrés sur une base géographique[1]. Au sommet de la pyramide, il y avait les langues[2] qui regroupaient les prieurés qui elles-mêmes regroupaient les commanderies qui enfin regroupaient de plus petites domaines comme les membres[1].
Antoine du Bourg, Ordre de Malte : Histoire du grand prieuré de Toulouse et des diverses possessions de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem dans le sud-ouest de la France..., Toulouse, L. Sistac et J. Boubée, , lire en ligne sur Gallica
Éric Thiou (préf. bailli de Pierredon), Dictionnaire biographique et généalogique des chevaliers de Malte de la langue d'Auvergne sous l’Ancien Régime, Versailles, Éditions Mémoire et Documents,
Eugène Mannier, Les commanderies du grand prieuré de France d'après les documents inédits conservés aux archives nationales à Paris, Paris, (lire en ligne)
Jean-Marc Roger, Le prieuré de Champagne des Chevaliers de Rhodes, Université Paris-Sorbonne, , 2000 p. — Thèse soutenue à Paris IV en 2001