Les plastomères sont aussi une classe de copolymères d’éthylène, apparus sur le marché en 1991[1]. Ces polyoléfines connaissent, comme le PEBDL, une importance croissante.
Le tableau ci-dessous montre un classement (non exhaustif) de polyoléfines en fonction de la densité (c’est-à-dire du taux de cristallinité[9]). Les polyoléfines présentent des densités très faibles, avec des valeurs inférieures à l’unité. Elles flottent dans l’eau.
↑Les copolymères d’éthylène à taux élevé de co-α-oléfines sont totalement amorphes, ce qui leur permet de posséder des propriétés élastomères après réticulation.
↑La catalyse « Ziegler-Natta » (par exemple) permet aussi la copolymérisation coordinative de l’éthylène avec d’autres oléfines (voir par exemple le fichier [PDF] cité dans les Références).
↑Par comparaison, les copolymères élastomères éthylène/propèneEP et EPDM contiennent de 15 à 40 % de motifs propène.
↑ abcdefg et hJacques Kessler, René Bourgeois et Henri Chauvel, Mémotech : génie des matériaux, Paris, Educalivre, , 528 p. (ISBN978-2-713-52246-8, OCLC300135131), p. 32