À la suite du crash de son vaisseau, le joueur se retrouve sur une planète présentant les traces d'une civilisation au bord de la destruction, sans la présence de ses habitants. Le but est donc de percer les mystères de cette planète déserte et de trouver un moyen de rentrer à la maison. Le joueur se balade dans les bâtiments et laboratoires pour comprendre la fonction de certains objets, traduire un texte dans une langue inconnue ou résoudre toute sorte d'énigmes. Il existe de nombreuses façons de mourir, le nombre d'action est limité par séquence et certaines énigmes sont impossibles à résoudre. Il est donc important de bien choisir ses instructions pour progresser dans le jeu. Rapidement, le joueur fait la rencontre de Floyd, un robot enfantin à la personnalité attachante. Ce personnage se déplaçant en toute indépendance et faisant preuve d'humour est essentiel dans la progression de l'intrigue[2].
(en) Monte Schultz et Steve Arrants, « Infocom does it again ... and again », Creative Computing, vol. 9, no 12, , p. 120 (lire en ligne, consulté le ).
(de) Gunnar Lott et Christian Schmidt, « Planetfall (SF 144) », Stay Forever [podcast], (lire en ligne, consulté le ).
(en) Steve Meretzky, « The Creation of Floyd the Robot in Planetfall », Electronic Book Review, (lire en ligne, consulté le ).
(en) Fred Saberhagen, Robert Lafore, Scott Prussing, Redmond Simonsen, Marc Blank et Michael Berlyn, « Call Yourself Ishmael: Micros Get The Literary Itch », Softline, vol. 2/3, no 6, , p. 30-34 (ISSN0745-4988, lire en ligne, consulté le ).
Notes et références
(en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Planetfall » (voir la liste des auteurs).
↑ a et bTony Mott (trad. de l'anglais), Les 1001 jeux vidéo auxquels il faut avoir joué dans sa vie, Paris, Flammarion, , 960 p. (ISBN978-2-08-126217-1), p. 65
↑
(en)
Neal Roger Tringham, Science Fiction Video Games, CRC Press, (ISBN9781482203899), « Adventures », p. 110.