Elle porte le nom de Constantin Pecqueur (1801-1887), économiste et théoricien socialiste français.
Historique
Précédemment place de l'Abreuvoir, voie de l'ancienne commune de Montmartre, la place Constantin-Pecqueur est classée dans la voirie parisienne par décret du . Formée par la réunion d'une partie de la rue Girardon et d'une partie de la rue de la Fontaine-du-But, elle prend le nom de « place Constantin-Pecqueur » par arrêté du .
Bâtiments remarquables et lieux de mémoire
Le peintre Louis Valtat installe en 1907 un nouvel atelier dans un bâtiment de la place Constantin-Pecqueur.
Philippe Delerm consacre une nouvelle des Eaux troubles du mojito à la place Constantin-Pecqueur : « […] cette place un peu secrète, à peine inclinée, juste au pied de la Butte[4]. »
Didier Blonde dans Cafés, etc., indique que Patrick Modiano dans Une Jeunesse, y fait venir Odile et Louis pour le simple plaisir de les entendre se dire « Rendez-vous à cinq heures, au Rêve », café littéraire connu dont les salles donnent sur la place[5].