Pierre est le second fils de Louis Becq de Fouquières (1831-1887) et Hélène de Groiseilliez (1836-1925), et le neveu du peintre Marcellin de Groiseilliez. Ses frères sont Jacques (1866-1945) et André de Fouquières (1874-1959), homme de lettres.
Pierre de Fouquières commence à se destiner à la peinture. Juliette Massenet le présente à Philippe Crozier, chef du protocole et introducteur des ambassadeurs, qui lui propose de le seconder. Il entre alors dans la carrière diplomatique, au service du Protocole, service qu'il dirigera ultérieurement pendant 17 ans et qu'il ne quittera que pour prendre sa retraite[2],[3].
Postérité
Le roi d’Espagne Alphonse XIII présente à Pierre de Fouquières sa filleule Carmen de Bellechasse, qu’il épouse le
à Madrid[4],
et dont il aura deux enfants: Gérard (1906-1979) et Marie-Hélène (1909-1970).
André Delavenne (directeur), Recueil généalogique de la bourgeoisie ancienne, préface du duc de Brissac, éditeur : S.G.A.F., Paris, 1954, 2 volumes, 446 pages (« [Première Série] ») + 445 pages (« Deuxième Série »), 32 cm : volume « [Première Série] », page 62, notice « Becq de Fouquières ».
Béatrice et Michel Wattel (en collaboration avec l’équipe rédactionnelle du Who’s Who in France), Who’s who in France : XXe siècle : dictionnaire biographique des Français disparus ayant marqué le XXe siècle, première édition, 2001, Levallois-Perret, éditeur : Jacques Lafitte, 2040 pages, 31 cm, (ISBN2-85784-039-X) : notice « Fouquières Augustin, Pierre Becq de ».
↑Archives de l’état civil de Paris en ligne, acte de naissance n° 8/341/1868 ; avec mention marginale du décès : date et lieu indiqués, 16 février 1960 à Biarritz.
↑André de Fouquières, Cinquante ans de Panache, Pierre Horay, coll. "Flore", Paris, 1951, 506 p. Les autres détails sont de sources familiales.