En 1999, il soutient une thèse en biologie à l'Université Paris-Sud, sous la direction de Catherine Dargemont[2], directrice de recherche au CNRS. Il est chercheur au Genopole d'Évry de à [3], puis chercheur au Laboratoire Jean-Perrin de à [4], ainsi qu'au Laboratoire acides nucléiques et biophotonique, de à [3].
Détection photonique de la lumière diffusée par les aérosols ultrafins, thèse de sciences physiques, 1967[1].
Étude des mécanismes moléculaires et rôle du trafic nucléocytoplasmique d'IκBα(en), un inhibiteur du facteur de transcription NF-κB, thèse de biologie, sous la direction de Catherine Dargemont, 1999[13].
Conséquences physico-chimiques de la photosensibilisation de l'hypericine et de l'hypocrelinne-A à l'échelle cellulaire.
Élaboration de nouvelles nanostructures d'argent, obtenues par ablation laser, pour caractériser des macromolécules et biomolécules par spectroscopie Raman exaltée par effet de surface.
Mise au point, étude et applications de matériaux poreux recouverts d'argent en tant que substrats SERS(en)-actifs.
Régulation dynamique des protéines impliquée dans la transduction du signal par l'oxyde nitrique.
Une nouvelle génération d'oligonucléotides synthétiques utilisables en stratégie antisens : propriétés d'hybridation et stabilité des complexes formés avec leurs compléments d'ADN naturel[14].