En France, le , il a obtenu un avis défavorable au remboursement par la Haute Autorité de santé en raison d’un intérêt clinique non démontré dans le traitement du cancer du rein au stade avancé bien qu'il ait démontré son efficacité versus placebo. Cependant, compte tenu des incertitudes sur ses performances par rapport aux autres inhibiteurs de tyrosine kinase, notamment le sunitinib en première ligne et le sorafenib en deuxième ligne, une perte de chance pour les patients ne peut pas être écartée si on l’utilise[6].
↑(en) Sleijfer S, Ray-Coquard I, Papai Z, Le Cesne A, Scurr M, Schöffski P, Collin F, Pandite L, Marreaud S, De Brauwer A, van Glabbeke M, Verweij J, Blay JY, « Pazopanib, a multikinase angiogenesis inhibitor, in patients with relapsed or refractory advanced soft tissue sarcoma: a phase II study from the European organisation for research and treatment of cancer-soft tissue and bone sarcoma group (EORTC study 62043) », Journal of clinical oncology, vol. 27, no 19, , p. 3126-3132 (PMID19451427, lire en ligne [html], consulté le )modifier
↑(en) Robbie SJ, Lundh von Leithner P, Ju M, Lange CA, King AG, Adamson P, Lee D, Sychterz C, Coffey P, Ng YS, Bainbridge JW, Shima DT, « Assessing a novel depot delivery strategy for noninvasive administration of VEGF/PDGF RTK inhibitors for ocular neovascular disease », Investigative ophthalmology & visual science, vol. 54, no 2, , p. 1490-1500 (PMID23385800, lire en ligne [html], consulté le )modifier