Deux fois blessé, d'abord défiguré par une balle qui l'atteignit dans l'oreille droite lors de l'expédition du Tonkin, puis touché au genou le , le général Chrétien est fait commandeur de la Légion d'honneur le .
- : commandant des troupes alliées d'occupation en Bulgarie.
- : en disponibilité.
- : en congé de repos.
- : en disponibilité.
: placé dans la section de réserve.
Famille
Marié à Jeanne Woitier. Leur fils unique Marcel Adrien (°) meurt au champ d'honneur le [4], sous-lieutenant au 3e régiment de zouaves[5].
Paul Chrétien est l'oncle du général Jean Chrétien (1897-1988)[6] qui fut l'une des grandes figures des services spéciaux de renseignements français pendant la Seconde Guerre mondiale[7].
↑Acte de mariage no 907 du 18/07/1824 de Jean Chrétien et Suzanne-Marie-Gabrielle Labansat, 1924, Mariages, Côte 5M 272 - Paris Ve - cité « Paul Chrétien, général de division, Grand officier de la Légion d'Honneur »
↑Notice nécrologique rédigée par Paul Paillole, « Mort du général Chrétien », Bulletin de l'amicale des anciens des services spéciaux de la Défense nationale (AASSDN), no 137, 1988. L'AASSDN a été créée par Paillole en 1953.