Paul-Henri Datessen est un architecte français né le 25 octobre 1884 à Paris et mort en 22 juillet 1938 à La Baule [ 1] .
On lui doit de nombreuses réalisations à La Baule-Escoublac à partir de 1911 dont l'hôtel des Postes et un nombre important de villas.
Biographie
Paul-Henri Marie Simon Datessen, naît le 25 octobre 1884 à Paris[ 2] . Il est le fils d'Édouard Datessen (1856-1940[ 3] — connu sous le nom d’Édouard Datessen ) architecte à la ville de Paris et à La Baule[ 4] , et de Paule Julie Clotilde Chotard[ 2] .
Il suit des études de droit ainsi que de médecine, pensent s’orienter vers une carrière de médecin de la marine[ 4] . Durant la Première Guerre mondiale , il est médecin auxiliaire puis médecin aide-major. Il est cité à l’ordre du 2e C.A. le 10 mai 1915 pour avoir fait preuve « d’un dévouement inlassable et d'un mépris absolu du danger » et reçoit la croix de Guerre [ 2] .
Il se marie avec Marie Grossin le 9 octobre 1919 [ 2] . Il est reçu chevalier de la Légion d’honneur le 1er avril 1932 au titre de lieutenant d’administration[ 2] .
Ses confrères architectes et les entrepreneurs avec lesquels il travaille disent de lui qu’il est un « seigneur d'une extrême discrétion » , « un ours, un solitaire qui [a] énormément de talent et dont le travail, très rigoureux, ne s’est pas démodé » [ 4] .
Bien qu’ayant dessiné les plans de plusieurs villas de La Baule depuis 1911, ce n’est qu’à partir de 1924 qu’il s’y installe et y ouvre ses premiers bureaux en novembre 1924 , 1er étage de la villa Ker Rosa, place de la Chapelle[ 5] . S’associant avec l’architecte parisien André Marganne , puis avec son chef d'agence Adelio Ballerini [ 6] , il déménage en octobre 1925 dans la villa La Brise, boulevard Darlu[ 5] .
Il se voit confier en 1928 la réhabilitation de l’ancienne gare. En février 1937 il est nommé architecte-conseil de la commune[ 5] .
En parallèle de ses activités d’architecte, il est vice-président du Cercle Nautique de La Baule jusqu'en mai 1938 [ 5] .
Il meurt en juillet 1938 . Il est enterré au cimetière de La Baule. Sa tombe comporte les motifs dessinés sur la façade de l'hôtel des Postes[ 5] .
Œuvre architecturale
Le pavillon d'hygiène sociale.
Il est l’auteur des projets baulois suivants[ N 1] :
l'hôtel Adelphi ;
la villa Les Ailes brisées (1933) ;
la villa Aktina à La Baule (1937[ 7] , [ 8] ) ;
la villa Athys ;
l’hôtel Blanc Manoir (vers 1930[ 9] ) ;
la villa Les Bousous (1929[ 10] ) ;
la villa Les Brimbelles (vers 1927[ 11] ) ;
la villa Brimborio ;
la villa Butterfly à La Baule (1930[ 12] ) ;
la villa Carpe Diem à La Baule (1937[ 13] , [ 14] ) ;
la villa Casa Sylva[ 15] ;
la maison Castel François-Marie (1930[ 16] ) ;
l'hôtel Celtic à La Baule (1931[ 17] ) ;
la villa Le Chalusset ;
la villa Chapelle Pavie (reprise en 1935 d'une maison construite vers 1900[ 18] ) ;
le cimetière (1929, monument funéraire de la famille et calvaire du cimetière[ 19] ) ;
le cinéma, théâtre dit Salle des Fêtes (en 1935[ 20] ) ;
la villa Clairbois (1935[ 21] ) ;
la villa La Clairière (1930[ 22] ) ;
la villa La Clarté (vers 1925[ 23] ) ;
la villa Le Clos Joli (1920[ 24] ) ;
le Club-House du Garden Tennis ;
la villa La Croix Saint-Clair à La Baule (1933[ 25] ) ;
l'agrandissement des écoles publiques ;
la villa Le Discobole (vers 1926[ 26] ) ;
la villa L'Escale à La Baule[ 27] ;
le garage automobile Ford (1929[ 28] ) ;
le dispensaire dit Fondation la Pérousse (en 1928[ 29] ) ;
la villa La Fresnaye (vers 1926[ 30] ) ;
la gendarmerie de La Baule;
les transformations d’hôtel Mauspha (rénovation en 1928 de l’œuvre de 1886 de François Aubry [ 31] ) ;
la villa Les Heures Claires à La Baule (1930[ 32] ) ;
la villa Janimore ;
la villa Ker Argoëd ;
la villa Ker Vir (1929[ 33] ) ;
le kiosque à musique (1929[ 34] ) ;
Les Lilas Blancs (1930[ 35] ) ;
la villa Les Lobédias ;
la villa Locmaria (1930[ 36] ) ;
la villa Le Mas à La Baule (1926[ 37] ) ;
les extensions du marché (1927 et 1928) ;
la villa Marie-Claude à La Baule (1932[ 38] ) ;
la villa Maouki (1930[ 39] ) ;
la villa Mélusine ;
la villa Melpomène (construite vers 1910 et remaniée par Paul-Henri Datessen en 1933 pour en faire son atelier de travail[ 40] ) ;
le manège la Mercanderie ou Dassonville à La Baule (1927[ 41] ) ;
la villa Migouélou (vers 1930[ 42] ) ;
la façade du garage automobile Minot (vers 1927[ 43] ) ;
la villa Mitsouko (1930[ 44] )
le monument aux morts de La Baule (1936) ;
la villa Okeanos (1930[ 45] ) ;
l'immeuble L'Oustaou (1929[ 46] ) ;
le dispensaire, dit Fondation la Pérousse, puis Pavillon d'hygiène sociale (1928) (reconversion avec d'importantes modifications du bâtiment voyageur de l'ancienne gare)[ 47] ;
la villa Pavillon Rose à La Baule (rénovation en 1926 de l’œuvre de 1900 de Georges Lafont [ 48] ) ;
l'hôtel des Postes (1936, avec l’architecte nantais Gabriel Guchet [ 49] , [ 50] ) ;
la villa Red-Roof à La Baule (1926 pour Latécoère [ 51] , [ 52] ) ;
la villa Rosario (vers 1930[ 53] ) ;
la villa Les Roches Rouges à La Baule (1926[ 54] ) ;
l'église du Sacré-Cœur à La Baule (1934[ 55] ) ;
la villa La Saga[ 19] ;
la villa Saint-Charles (avec André Marganne[ 56] ) ;
la villa Saint-Corentin (1928[ 57] ) ;
la villa Saint-Guénolé (1927[ 58] ) ;
la villa Saint-Syvestre (reprise vers 1930 d'une maison de 1910[ 59] ) ;
la villa Soladar (en 1930[ 60] ) ;
la villa Solenea à La Baule (vers 1926[ 61] , [ 62] ) ;
la villa Sunny Cottage (1924[ 63] ) ;
la villa Les Tottes (reprise vers 1928 d'une maison dessinée vers 1900[ 64] ) ;
le temple protestant (1930[ 65] , [ 66] ) ;
la villa Ty Breiz (1930[ 67] ) ;
la villa Ty Ouït (vers 1926[ 68] ) ;
la villa Ty Ra et son annexe Ty Ra Bihan (reprise vers 1925 d’une maison construite vers 1900[ 69] ) ;
la villa Vega (vers 1920[ 70] ) ;
la villa Vert Cottage (1930[ 71] ) ;
la villa La Villanelle, ou Villa Nelle (1922[ 19] , [ 72] ) ;
l’hôtel dit Hôtel Weller (rénovation avec André Marganne d'un bâtiment conçu par Georges Lafont [ 73] )
Son dernier projet à La Baule est la villa Aktina pour Charles Grégoire, consul de Grèce à Bruxelles, une construction de style basque aux larges débords de toiture, loggias et grandes ouvertures[ 5] , [ 74] .
Il est également l'auteur de l'agrandissement de la maison Ker Goustan vers 1910, initialement construite en 1893 au Croisic [ 75] et de la construction d’une maison de villégiature balnéaire à Batz-sur-Mer vers 1934[ 76] . On lui doit également la villa La Grande Chartreuse à Pornichet [ 77] et la poursuite de la construction de la villa Saint-Kiriec au Pouliguen (rénovation en 1938 de l’œuvre de 1873 de François Bougoüin [ 78] , [ 79] ).
Par ailleurs, il est intervenu sur un château du XVI e siècle dans la commune d'Auverse , lieu-dit la Calvinière (orangerie) [ 80] .
Voir aussi
Bibliographie
Alain Charles, La Baule et ses villas : le concept balnéaire , Paris, Massin, 2002 , 213 p. (ISBN 2-7072-0444-7 , BNF 38890407 ) Alain Charles est architecte
DPLG et
DEA en histoire de l'architecture, spécialiste du balnéaire
[ 81] , [ 82] .
Colette David (photogr. Stéphan Ménoret), Les villas de La Baule : des bourgeoises modèles aux excentriques rigolotes , La presse de l’Estuaire, 1979 , 95 p. (ASIN B009P12Q4I )
Laurent Delpire, « Urbanisme et architecture balnéaire : histoire d'un phénomène de société, l’exemple du Pays de Guérande », Les cahiers du Pays de Guérande , no 52, 2011 (ISSN 0765-3565 ) Laurent Delpire est historien de l’art, conservateur des antiquités et objets d’art de Loire-Atlantique.
Jean-Louis Kerouanton, « Éléments de cartographie pour la connaissance de l’architecture balnéaire bauloise » [PDF] , sur un site du ministère de la Culture , 2004 (consulté le 7 janvier 2018 ) Jean-Louis Kerouanton est chercheur au service régional de l’Inventaire, direction régionale des affaires culturelles des Pays de la Loire.
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes
Références
↑ Base Léonore
↑ a b c d et e « Paul-Henri Datessen », base Léonore , ministère français de la Culture .
↑ Charles 2002 , p. 201.
↑ a b et c David 1979 , p. 21.
↑ a b c d e f et g « Personnalités de La Baule », sur labaule-sepia.fr (consulté le 22 octobre 2017 )
↑ « Institut français d'architecture » [PDF] , décembre 1996 (consulté le 11 février 2018 ) , p. 9.
↑ Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire Aktina », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le 14 janvier 2018 ) .
↑ Charles 2002 , p. 105.
↑ Alain Charles, « Hôtel de voyageurs Blanc Manoir puis Salmach et Adelphe puis Miquette et Marcelile », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le 24 février 2018 ) .
↑ Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire Les Bousous », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le 4 février 2018 ) .
↑ Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire Les Brimbelles », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le 13 février 2018 ) .
↑ Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire Butterfly », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le 14 janvier 2018 ) .
↑ Charles 2002 , p. 100.
↑ Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire Carpe Diem », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le 14 janvier 2018 ) .
↑ Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire Casa Sylva », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le 10 février 2018 ) .
↑ Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire Castel François-Marie », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le 11 décembre 2017 ) .
↑ Alain Charles, « Hôtel de voyageurs Celtic Hôtel actuellement immeuble à logements », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le 14 janvier 2018 ) .
↑ Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire Chapelle Pavie », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le 9 février 2018 ) .
↑ a b et c David 1979 , p. 22.
↑ Alain Charles, « Cinéma, théâtre dit Salle des Fêtes », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le 17 février 2018 ) .
↑ Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire Clairbois », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le 3 février 2018 ) .
↑ Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire La Clairière », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le 29 janvier 2018 ) .
↑ Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire La Clarté », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le 11 février 2018 ) .
↑ Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire Le Clos Joli », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le 28 janvier 2018 ) .
↑ Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire La Croix Saint-Clair », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le 14 janvier 2018 ) .
↑ Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire Le Discobole », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le 14 février 2018 ) .
↑ Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire L'Escale », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le 14 janvier 2018 ) .
↑ Alain Charles, « Garage de réparation automobile Ford puis Jean Larmat », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le 27 janvier 2018 ) .
↑ Alain Charles, « Dispensaire dit Fondation la Pérousse puis Dispensaire d'hygiène social », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le 25 février 2018 ) .
↑ Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire La Fresnaye », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le 18 février 2018 ) .
↑ Alain Charles, « Hôtel de voyageurs dit Hôtel Mauspha puis Hôtel de la Plage et du Golf actuellement immeuble à logements Résidence du Golfe », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le 14 janvier 2018 ) .
↑ Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire Les Heures Claires », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le 14 janvier 2018 ) .
↑ Alain Charles, « Maison dite villa Ker Vir », sur Patrimoine des Pays de la Loire (consulté le 28 janvier 2018 ) .
↑ Alain Charles, « Kiosque à musique », sur Patrimoine des Pays de la Loire (consulté le 28 janvier 2018 ) .
↑ Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire Les Lilas Blancs », sur Patrimoine des Pays de la Loire (consulté le 30 janvier 2018 ) .
↑ Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire Locmaria », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le 14 janvier 2018 ) .
↑ Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire Le Mas puis Yurala », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le 14 janvier 2018 ) .
↑ Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire Marie-Claude », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le 14 janvier 2018 ) .
↑ Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire Maouki puis Lernos », sur Patrimoine des Pays de la Loire (consulté le 25 janvier 2018 ) .
↑ Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire Melpomène », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le 21 janvier 2018 ) .
↑ Alain Charles, « Centre de loisirs équestres dit Manège Dassonville actuellement restaurant la Marcanderie », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le 14 janvier 2018 ) .
↑ Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire Migouélou », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le 14 janvier 2018 ) .
↑ Alain Charles, « Garage de réparation automobile Minot », sur Patrimoine des Pays de la Loire (consulté le 14 février 2018 ) .
↑ Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire Mitsouko », sur Patrimoine des Pays de la Loire (consulté le 25 janvier 2018 ) .
↑ Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire Okeanos », sur Patrimoine des Pays de la Loire (consulté le 30 janvier 2018 ) .
↑ Alain Charles, « Immeuble à logements L'Oustaou et magasin de commerce », sur Patrimoine des Pays de la Loire (consulté le 2 février 2018 ) .
↑ https://gertrude.paysdelaloire.fr/dossier/IA44000694
↑ Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire Pavillon Rose », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le 14 janvier 2018 ) .
↑ David 1979 , p. 24.
↑ Alain Charles, « Poste de la Baule-Escoublac », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le 21 janvier 2018 ) .
↑ Charles 2002 , p. 66-67.
↑ Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire Red-Roof puis Les Ailes », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le 14 janvier 2018 ) .
↑ Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire Rosario », sur Patrimoine des Pays de la Loire (consulté le 16 février 2018 ) .
↑ Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire Les Roches Rouges », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le 14 janvier 2018 ) .
↑ Alain Charles, « Église dite chapelle du Sacré-Coeur », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le 14 janvier 2018 ) .
↑ Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire Saint-Charles puis Las Maravillas », sur Patrimoine des Pays de la Loire (consulté le 18 février 2018 ) .
↑ Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire Saint-Corentin », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le 11 décembre 2017 ) .
↑ Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire Saint-Guénolé », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le 11 décembre 2017 ) .
↑ Alain Charles, « Ancienne maison dite villa balnéaire Saint-Syvestre, puis hôtel de voyageurs Les Pléaides », sur Patrimoine des Pays de la Loire (consulté le 25 février 2018 ) .
↑ Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire Soladar », sur Patrimoine des Pays de la Loire (consulté le 19 février 2018 ) .
↑ Charles 2002 , p. 115.
↑ Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire Solenea », sur Patrimoine des Pays de la Loire (consulté le 17 février 2018 ) .
↑ Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire Sunny Cottage », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le 15 janvier 2018 ) .
↑ Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire Les Tottes », sur Patrimoine des Pays de la Loire (consulté le 21 février 2018 ) .
↑ David 1979 , p. 23.
↑ Alain Charles, « Temple protestant », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le 21 janvier 2018 ) .
↑ Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire Ty Breiz », sur Patrimoine des Pays de la Loire (consulté le 28 janvier 2018 ) .
↑ Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire Ty Ouït », sur Patrimoine des Pays de la Loire (consulté le 3 février 2018 ) .
↑ Alain Charles, « Maisons dites villas balnéaires Ty Ra et Ty Ra Bihan », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le 11 décembre 2017 ) .
↑ Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire Vega », sur Patrimoine des Pays de la Loire (consulté le 9 février 2018 ) .
↑ Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire Vert Cottage », sur Patrimoine des Pays de la Loire (consulté le 27 janvier 2018 ) .
↑ Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire Villa Nelle », sur Patrimoine des Pays de la Loire (consulté le 7 février 2018 ) .
↑ Alain Charles, « Hôtel de voyageurs dit Hôtel Weller puis Hôtel Continental », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le 27 janvier 2018 ) .
↑ « La Baule-les-Pins et sa mosaïque architecturale », sur un site du journal Ouest-France , 4 juin 2017 (consulté le 22 octobre 2017 ) .
↑ Laurent Delpire, « Maison de villégiature balnéaire dite Ker Goustan puis Ker Groaz », sur Patrimoine des Pays de la Loire (consulté le 1er mars 2018 ) .
↑ Laurent Delpire, « Maison de villégiature balnéaire », sur Patrimoine des Pays de la Loire , 1997 (consulté le 3 mars 2018 ) .
↑ Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire La Grande Chartreuse », sur Patrimoine des Pays de la Loire , 1994 (consulté le 4 mars 2018 ) .
↑ Charles 2002 , p. 101.
↑ Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire Saint-Kiriec », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le 14 janvier 2018 ) .
↑ « Château à la Calvinière », notice no IA00032288 .
↑ Anne Vidalie, « La Baule: le bonheur est dans les pins », sur un site du magazine L'Express , 10 juin 2014 (consulté le 7 janvier 2018 ) .
↑ Alain Charles, « Panorama Le Pouliguen - La Baule - Pornichet », sur panorama-labaule.com (consulté le 7 janvier 2018 ) .
↑ Daniel Le Couédic, « L’architecture et les paysages, bastions de l’identité bretonne », sur bretonsdujapon (consulté le 20 janvier 2018 ) , p. 11.