Paul-Henri Datessen

Paul-Henri Datessen
Fonctions
Vice-président
Cercle nautique La Baule Le Pouliguen Pornichet
jusqu'en
Architecte municipal (d)
Ville de La Baule-Escoublac (d)
Biographie
Naissance
Décès
Nationalité
Formation
Activités
Père
Parentèle
Henry Chotard (d) (grand-père)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Membre de
Société française des architectes (d)
Société des architectes de Nantes et de Loire-Atlantique (d)
Yacht Club de FranceVoir et modifier les données sur Wikidata
Conflit
Maîtres
Distinctions
Œuvres principales
Villa Las Maravillas, Royal-Thalasso, chapelle Notre-Dame-du-Sacré-Cœur (d)Voir et modifier les données sur Wikidata

Paul-Henri Datessen est un architecte français né le à Paris et mort en à La Baule[1].

On lui doit de nombreuses réalisations à La Baule-Escoublac à partir de 1911 dont l'hôtel des Postes et un nombre important de villas.

Biographie

Paul-Henri Marie Simon Datessen, naît le à Paris[2]. Il est le fils d'Édouard Datessen (1856-1940[3] — connu sous le nom d’Édouard Datessen) architecte à la ville de Paris et à La Baule[4], et de Paule Julie Clotilde Chotard[2].

Il suit des études de droit ainsi que de médecine, pensent s’orienter vers une carrière de médecin de la marine[4]. Durant la Première Guerre mondiale, il est médecin auxiliaire puis médecin aide-major. Il est cité à l’ordre du 2e C.A. le pour avoir fait preuve « d’un dévouement inlassable et d'un mépris absolu du danger » et reçoit la croix de Guerre[2].

Il se marie avec Marie Grossin le [2]. Il est reçu chevalier de la Légion d’honneur le au titre de lieutenant d’administration[2].

Ses confrères architectes et les entrepreneurs avec lesquels il travaille disent de lui qu’il est un « seigneur d'une extrême discrétion », « un ours, un solitaire qui [a] énormément de talent et dont le travail, très rigoureux, ne s’est pas démodé »[4].

Bien qu’ayant dessiné les plans de plusieurs villas de La Baule depuis 1911, ce n’est qu’à partir de 1924 qu’il s’y installe et y ouvre ses premiers bureaux en , 1er étage de la villa Ker Rosa, place de la Chapelle[5]. S’associant avec l’architecte parisien André Marganne, puis avec son chef d'agence Adelio Ballerini[6], il déménage en dans la villa La Brise, boulevard Darlu[5].

Il se voit confier en 1928 la réhabilitation de l’ancienne gare. En il est nommé architecte-conseil de la commune[5].

En parallèle de ses activités d’architecte, il est vice-président du Cercle Nautique de La Baule jusqu'en [5].

Il meurt en . Il est enterré au cimetière de La Baule. Sa tombe comporte les motifs dessinés sur la façade de l'hôtel des Postes[5].

Œuvre architecturale

Le pavillon d'hygiène sociale.
Le pavillon d'hygiène sociale.

Il est l’auteur des projets baulois suivants[N 1] :

  • l'hôtel Adelphi ;
  • la villa Les Ailes brisées (1933) ;
  • la villa Aktina à La Baule (1937[7],[8]) ;
  • la villa Athys ;
  • l’hôtel Blanc Manoir (vers 1930[9]) ;
  • la villa Les Bousous (1929[10]) ;
  • la villa Les Brimbelles (vers 1927[11]) ;
  • la villa Brimborio ;
  • la villa Butterfly à La Baule (1930[12]) ;
  • la villa Carpe Diem à La Baule (1937[13],[14]) ;
  • la villa Casa Sylva[15] ;
  • la maison Castel François-Marie (1930[16]) ;
  • l'hôtel Celtic à La Baule (1931[17]) ;
  • la villa Le Chalusset ;
  • la villa Chapelle Pavie (reprise en 1935 d'une maison construite vers 1900[18]) ;
  • le cimetière (1929, monument funéraire de la famille et calvaire du cimetière[19]) ;
  • le cinéma, théâtre dit Salle des Fêtes (en 1935[20]) ;
  • la villa Clairbois (1935[21]) ;
  • la villa La Clairière (1930[22]) ;
  • la villa La Clarté (vers 1925[23]) ;
  • la villa Le Clos Joli (1920[24]) ;
  • le Club-House du Garden Tennis ;
  • la villa La Croix Saint-Clair à La Baule (1933[25]) ;
  • l'agrandissement des écoles publiques ;
  • la villa Le Discobole (vers 1926[26]) ;
  • la villa L'Escale à La Baule[27] ;
  • le garage automobile Ford (1929[28]) ;
  • le dispensaire dit Fondation la Pérousse (en 1928[29]) ;
  • la villa La Fresnaye (vers 1926[30]) ;
  • la gendarmerie de La Baule;
  • les transformations d’hôtel Mauspha (rénovation en 1928 de l’œuvre de 1886 de François Aubry[31]) ;
  • la villa Les Heures Claires à La Baule (1930[32]) ;
  • la villa Janimore ;
  • la villa Ker Argoëd ;
  • la villa Ker Vir (1929[33]) ;
  • le kiosque à musique (1929[34]) ;
  • Les Lilas Blancs (1930[35]) ;
  • la villa Les Lobédias ;
  • la villa Locmaria (1930[36]) ;
  • la villa Le Mas à La Baule (1926[37]) ;
  • les extensions du marché (1927 et 1928) ;
  • la villa Marie-Claude à La Baule (1932[38]) ;
  • la villa Maouki (1930[39]) ;
  • la villa Mélusine ;
  • la villa Melpomène (construite vers 1910 et remaniée par Paul-Henri Datessen en 1933 pour en faire son atelier de travail[40]) ;
  • le manège la Mercanderie ou Dassonville à La Baule (1927[41]) ;
  • la villa Migouélou (vers 1930[42]) ;
  • la façade du garage automobile Minot (vers 1927[43]) ;
  • la villa Mitsouko (1930[44])
  • le monument aux morts de La Baule (1936) ;
  • la villa Okeanos (1930[45]) ;
  • l'immeuble L'Oustaou (1929[46]) ;
  • le dispensaire, dit Fondation la Pérousse, puis Pavillon d'hygiène sociale (1928) (reconversion avec d'importantes modifications du bâtiment voyageur de l'ancienne gare)[47] ;
  • la villa Pavillon Rose à La Baule (rénovation en 1926 de l’œuvre de 1900 de Georges Lafont[48]) ;
  • l'hôtel des Postes (1936, avec l’architecte nantais Gabriel Guchet[49],[50]) ;
  • la villa Red-Roof à La Baule (1926 pour Latécoère[51],[52]) ;
  • la villa Rosario (vers 1930[53]) ;
  • la villa Les Roches Rouges à La Baule (1926[54]) ;
  • l'église du Sacré-Cœur à La Baule (1934[55]) ;
  • la villa La Saga[19] ;
  • la villa Saint-Charles (avec André Marganne[56]) ;
  • la villa Saint-Corentin (1928[57]) ;
  • la villa Saint-Guénolé (1927[58]) ;
  • la villa Saint-Syvestre (reprise vers 1930 d'une maison de 1910[59]) ;
  • la villa Soladar (en 1930[60]) ;
  • la villa Solenea à La Baule (vers 1926[61],[62]) ;
  • la villa Sunny Cottage (1924[63]) ;
  • la villa Les Tottes (reprise vers 1928 d'une maison dessinée vers 1900[64]) ;
  • le temple protestant (1930[65],[66]) ;
  • la villa Ty Breiz (1930[67]) ;
  • la villa Ty Ouït (vers 1926[68]) ;
  • la villa Ty Ra et son annexe Ty Ra Bihan (reprise vers 1925 d’une maison construite vers 1900[69]) ;
  • la villa Vega (vers 1920[70]) ;
  • la villa Vert Cottage (1930[71]) ;
  • la villa La Villanelle, ou Villa Nelle (1922[19],[72]) ;
  • l’hôtel dit Hôtel Weller (rénovation avec André Marganne d'un bâtiment conçu par Georges Lafont[73])

Son dernier projet à La Baule est la villa Aktina pour Charles Grégoire, consul de Grèce à Bruxelles, une construction de style basque aux larges débords de toiture, loggias et grandes ouvertures[5],[74]. Il est également l'auteur de l'agrandissement de la maison Ker Goustan vers 1910, initialement construite en 1893 au Croisic[75] et de la construction d’une maison de villégiature balnéaire à Batz-sur-Mer vers 1934[76]. On lui doit également la villa La Grande Chartreuse à Pornichet[77] et la poursuite de la construction de la villa Saint-Kiriec au Pouliguen (rénovation en 1938 de l’œuvre de 1873 de François Bougoüin[78],[79]).

Par ailleurs, il est intervenu sur un château du XVIe siècle dans la commune d'Auverse, lieu-dit la Calvinière (orangerie) [80].

Voir aussi

Bibliographie

  • Alain Charles, La Baule et ses villas : le concept balnéaire, Paris, Massin, , 213 p. (ISBN 2-7072-0444-7, BNF 38890407)
    Alain Charles est architecte DPLG et DEA en histoire de l'architecture, spécialiste du balnéaire[81],[82].
  • Colette David (photogr. Stéphan Ménoret), Les villas de La Baule : des bourgeoises modèles aux excentriques rigolotes, La presse de l’Estuaire, , 95 p. (ASIN B009P12Q4I)
    Colette David est journaliste au quotidien Ouest-France[83].
  • Laurent Delpire, « Urbanisme et architecture balnéaire : histoire d'un phénomène de société, l’exemple du Pays de Guérande », Les cahiers du Pays de Guérande, no 52,‎ (ISSN 0765-3565)
    Laurent Delpire est historien de l’art, conservateur des antiquités et objets d’art de Loire-Atlantique.
  • Jean-Louis Kerouanton, « Éléments de cartographie pour la connaissance de l’architecture balnéaire bauloise » [PDF], sur un site du ministère de la Culture, (consulté le )
    Jean-Louis Kerouanton est chercheur au service régional de l’Inventaire, direction régionale des affaires culturelles des Pays de la Loire.

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

Notes

  1. Liste non exhaustive parue dans le journal La Mouette en 1938[5].

Références

  1. Base Léonore
  2. a b c d et e « Paul-Henri Datessen », base Léonore, ministère français de la Culture.
  3. Charles 2002, p. 201.
  4. a b et c David 1979, p. 21.
  5. a b c d e f et g « Personnalités de La Baule », sur labaule-sepia.fr (consulté le )
  6. « Institut français d'architecture » [PDF], (consulté le ), p. 9.
  7. Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire Aktina », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le ).
  8. Charles 2002, p. 105.
  9. Alain Charles, « Hôtel de voyageurs Blanc Manoir puis Salmach et Adelphe puis Miquette et Marcelile », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le ).
  10. Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire Les Bousous », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le ).
  11. Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire Les Brimbelles », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le ).
  12. Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire Butterfly », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le ).
  13. Charles 2002, p. 100.
  14. Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire Carpe Diem », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le ).
  15. Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire Casa Sylva », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le ).
  16. Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire Castel François-Marie », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le ).
  17. Alain Charles, « Hôtel de voyageurs Celtic Hôtel actuellement immeuble à logements », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le ).
  18. Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire Chapelle Pavie », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le ).
  19. a b et c David 1979, p. 22.
  20. Alain Charles, « Cinéma, théâtre dit Salle des Fêtes », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le ).
  21. Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire Clairbois », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le ).
  22. Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire La Clairière », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le ).
  23. Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire La Clarté », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le ).
  24. Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire Le Clos Joli », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le ).
  25. Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire La Croix Saint-Clair », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le ).
  26. Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire Le Discobole », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le ).
  27. Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire L'Escale », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le ).
  28. Alain Charles, « Garage de réparation automobile Ford puis Jean Larmat », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le ).
  29. Alain Charles, « Dispensaire dit Fondation la Pérousse puis Dispensaire d'hygiène social », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le ).
  30. Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire La Fresnaye », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le ).
  31. Alain Charles, « Hôtel de voyageurs dit Hôtel Mauspha puis Hôtel de la Plage et du Golf actuellement immeuble à logements Résidence du Golfe », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le ).
  32. Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire Les Heures Claires », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le ).
  33. Alain Charles, « Maison dite villa Ker Vir », sur Patrimoine des Pays de la Loire (consulté le ).
  34. Alain Charles, « Kiosque à musique », sur Patrimoine des Pays de la Loire (consulté le ).
  35. Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire Les Lilas Blancs », sur Patrimoine des Pays de la Loire (consulté le ).
  36. Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire Locmaria », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le ).
  37. Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire Le Mas puis Yurala », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le ).
  38. Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire Marie-Claude », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le ).
  39. Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire Maouki puis Lernos », sur Patrimoine des Pays de la Loire (consulté le ).
  40. Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire Melpomène », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le ).
  41. Alain Charles, « Centre de loisirs équestres dit Manège Dassonville actuellement restaurant la Marcanderie », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le ).
  42. Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire Migouélou », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le ).
  43. Alain Charles, « Garage de réparation automobile Minot », sur Patrimoine des Pays de la Loire (consulté le ).
  44. Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire Mitsouko », sur Patrimoine des Pays de la Loire (consulté le ).
  45. Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire Okeanos », sur Patrimoine des Pays de la Loire (consulté le ).
  46. Alain Charles, « Immeuble à logements L'Oustaou et magasin de commerce », sur Patrimoine des Pays de la Loire (consulté le ).
  47. https://gertrude.paysdelaloire.fr/dossier/IA44000694
  48. Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire Pavillon Rose », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le ).
  49. David 1979, p. 24.
  50. Alain Charles, « Poste de la Baule-Escoublac », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le ).
  51. Charles 2002, p. 66-67.
  52. Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire Red-Roof puis Les Ailes », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le ).
  53. Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire Rosario », sur Patrimoine des Pays de la Loire (consulté le ).
  54. Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire Les Roches Rouges », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le ).
  55. Alain Charles, « Église dite chapelle du Sacré-Coeur », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le ).
  56. Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire Saint-Charles puis Las Maravillas », sur Patrimoine des Pays de la Loire (consulté le ).
  57. Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire Saint-Corentin », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le ).
  58. Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire Saint-Guénolé », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le ).
  59. Alain Charles, « Ancienne maison dite villa balnéaire Saint-Syvestre, puis hôtel de voyageurs Les Pléaides », sur Patrimoine des Pays de la Loire (consulté le ).
  60. Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire Soladar », sur Patrimoine des Pays de la Loire (consulté le ).
  61. Charles 2002, p. 115.
  62. Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire Solenea », sur Patrimoine des Pays de la Loire (consulté le ).
  63. Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire Sunny Cottage », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le ).
  64. Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire Les Tottes », sur Patrimoine des Pays de la Loire (consulté le ).
  65. David 1979, p. 23.
  66. Alain Charles, « Temple protestant », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le ).
  67. Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire Ty Breiz », sur Patrimoine des Pays de la Loire (consulté le ).
  68. Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire Ty Ouït », sur Patrimoine des Pays de la Loire (consulté le ).
  69. Alain Charles, « Maisons dites villas balnéaires Ty Ra et Ty Ra Bihan », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le ).
  70. Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire Vega », sur Patrimoine des Pays de la Loire (consulté le ).
  71. Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire Vert Cottage », sur Patrimoine des Pays de la Loire (consulté le ).
  72. Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire Villa Nelle », sur Patrimoine des Pays de la Loire (consulté le ).
  73. Alain Charles, « Hôtel de voyageurs dit Hôtel Weller puis Hôtel Continental », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le ).
  74. « La Baule-les-Pins et sa mosaïque architecturale », sur un site du journal Ouest-France, (consulté le ).
  75. Laurent Delpire, « Maison de villégiature balnéaire dite Ker Goustan puis Ker Groaz », sur Patrimoine des Pays de la Loire (consulté le ).
  76. Laurent Delpire, « Maison de villégiature balnéaire », sur Patrimoine des Pays de la Loire, (consulté le ).
  77. Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire La Grande Chartreuse », sur Patrimoine des Pays de la Loire, (consulté le ).
  78. Charles 2002, p. 101.
  79. Alain Charles, « Maison dite villa balnéaire Saint-Kiriec », sur Patrimoine des pays de la Loire (consulté le ).
  80. « Château à la Calvinière », notice no IA00032288.
  81. Anne Vidalie, « La Baule: le bonheur est dans les pins », sur un site du magazine L'Express, (consulté le ).
  82. Alain Charles, « Panorama Le Pouliguen - La Baule - Pornichet », sur panorama-labaule.com (consulté le ).
  83. Daniel Le Couédic, « L’architecture et les paysages, bastions de l’identité bretonne », sur bretonsdujapon (consulté le ), p. 11.