Motif : Mathématicien qui a fait semble-t-il carrière à l'École Polytechnique sans toutefois percer en termes de notoriété. On note deux prix mais très spécifiques (pas forcément connus en eux-mêmes), pas de Nobel, médaille Fields ou prix Abel, pas de médaille du CNRS, pas d'article de presse centré. Je ne pense pas qu'il franchisse les critères d'admissibilité. Voir si de nouvelles sources peuvent être apportées.
Vous êtes invité à compléter l'article pour expliciter son admissibilité, en y apportant des sources secondaires de qualité, ainsi qu'à en discuter. Si rien n'est fait, cet article sera proposé au débat d'admissibilité un an au plus tard après la mise en place de ce bandeau.
De 1999 à 2004 il occupe le poste de vice-président de l'École polytechnique, chargé de la scolarité.
À la fin de son mandat il devient professeur dans cette école où il occupe la chaireAndré-Citroën créée en 2011[2]. Il est aussi responsable du département de mécanique, énergétique et procédés à l'université Paris-Saclay depuis 2014[3]. Il dirige le laboratoire de mécanique des solides (CNRS UMR7649) depuis 2010[4] et participe aux travaux de l'équipe INRIA/Polytechnique Mathematical and Medical Modeling with Data Interaction in Medicine[5].
Depuis 2020, il est le doyen du programme Bachelor of Science[6] de l'École polytechnique, succédant à Claire Lenz[7].
Travaux
Ses travaux en mécanique des structures portent sur les méthodes de calcul dans le domaine non-linéaire, le couplage fluide-structure, les problèmes multi-échelles et multi-matériaux. En mécanique des fluides il s'est intéressé aux écoulements raréfiés, aux problèmes multi-échelles et à l'optimisation de forme[8],[9]. Plus récemment ses études portent sur l'identification dynamique de structures biologiques.
(en) P. Le Tallec, « Numerical Methods for Nonlinear Three Dimensional Elasticity », Handbook of Numerical Analysis, North Holland, vol. III, , p. 465-624