La réception critique de la pièce est particulièrement mauvaise, notamment sous la plume de Pierre Hervé pour le journal communiste Action[4] mais aussi de Jean-Jacques Gautier dans Le Figaro, ce qui sera vécu difficilement et douloureusement par Mauriac. Il répondra vigoureusement aux critiques très négatives dans une conférence donnée le à la salle Gaveau intitulée « Pourquoi j'ai écrit Passage du malin »[2],[5],[6].
Notes et références
↑Plusieurs ouvrages indiquent la date du 9 décembre, au lieu du 12, mais il semblerait que cela soit dû à une erreur de Jean-Jacques Gautier qui avait assisté à la « couturière » et fit son article du Figaro à cette date là.