Le rapport d'Ambroise sur ce concile nous apprend que Palladius avait déjà été déposé de l'épiscopat quarante ans auparavant comme entaché d'une hérésie à la fois opposée à l'arianisme et en connexion avec lui, celle de Photin, évêque de Sirmium[3].
Palladius est l'auteur d'une réfutation du de Fide d'Ambroise de Milan, d'annotations des Actes du concile d'Aquilée et d'une apologie des condamnés d'Aquilée[4].
Jacques Zeiller, L'activité littéraire d'un évêque arien de la région danubienne, Palladius de Ratiaria. Paris : Auguste Picard, 1918, 6 p. (lire en ligne)
Albert de Broglie, L'Église et l'Empire romain au IVe siècle, Troisième partie, Valentinien et Théodose II. Paris : Librairie académique Didier et Cie, Libraires-Éditeurs, 1868, pp. 29–30. (lire en ligne)