Orlanda Amarílis, née le à Assomada, sur l'île de Santiago, et morte le à Lisbonne[1], est une femme de lettrescap-verdienne. Son nom est souvent associé à celui de son mari, l'écrivain portugais Manuel Ferreira, lui-même spécialiste de littérature luso-africaine.
Orlanda Amarílis collabora au premier numéro de l'éphémère revue littéraireCerteza[2] avec une réflexion sur les femmes, « Acêrca da Mulher »[3].
Les deux recueils de nouvelles d'Orlanda Amarílis abordent des thèmes tels que la condition féminine au Cap-Vert et une identité cap-verdienne en devenir[2].
Œuvres
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Notes
↑com Lusa, « Morreu a contista cabo-verdiana Orlanda Amarílis (1924-2014) », Público, (lire en ligne, consulté le ).
↑ a et b(en) Richard A. Lobban Jr et Paul Khalil Saucier, « Orlanda Amarílis », Historical dictionary of the Republic of Cape Verde, Scarecrow Press, Lanham, Maryland ; Toronto ; Plymouth, 2007, p. 23 (ISBN978-0-8108-4906-8)
↑(pt) Version numérisée sur le site de l'Universidade Jean Piaget de Cabo Verde [1]
↑(en) Charlotte H. Bruner (dir.), The Heinemann book of African women's writing, Heinemann, Oxford, 1993, p. 189 (ISBN0-435-90673-9)
Annexes
Bibliographie
(en) Charlotte H. Bruner (dir.), « Orlanda Amarílis », The Heinemann book of African women's writing, Heinemann, Oxford, 1993, p. 34 et suiv. (ISBN0-435-90673-9)
(en) Albert Gérard, « The Literature of Cape Verde », African Arts, vol. 1, no 2, hiver 1968, p. 62-64
(en) Gregory McNab, « Sexual Difference: The Subjection of Women in Two Stories by Orlanda Amarílis », Luso-Brazilian Review, vol. 24, no 1, été 1987, p. 59-68
(pt) Benjamin Abdala Junior, « Globalização, Cultura e Identidade em Orlanda Amarílis », Portuguese Literary & Cultural Studies (PLCS), vol. 8, printemps 2002, p. 213-226
(pt) Jane Tutikian, Inquietos Olhares: A construção do processo de identidade nacional nas obras de Lídia Jorge e Orlanda Amarílis, Editora Arte & Ciência, São Paulo, 1999