Oran, langue morte est un recueil de nouvelles d'Assia Djebar paru en 1997.
Historique
Il s'agit d'un recueil de cinq nouvelles, un conte et un récit[1], en deux parties intitulées « L’Algérie entre désir et mort », et « Entre France et Algérie »[2], écrites à Paris entre les mois d’août et d’octobre 1996[3].
Marie-Claire Chatelard, « L’Algérie entre la violence et la parole. Réflexions sur Oran, langue morte d’Assia Djebar », dans Christiane Albert, Francophonie et identités culturelles, Karthala, (lire en ligne), p. 227 à 240.
Mounira Chatti, « L’écriture du désastre chez Assia Djebar (Oran, langue morte et Le Blanc de l’Algérie) », El-Khitab, no 16, (lire en ligne, consulté le ).
Rosalia Bivona, « Villes algériennes et voix sororales. Une analyse spatio-vocale de Oran langue morte », dans Najib Redouane et Yvette Bénayoun-Szmidt, Assia Djebar, L'Harmattan, .
Nassima Bougherara, « Assia Djebar, Oran langue morte », Mots. Les langages du politique, no 57, , p. 158-163 (lire en ligne, consulté le ).
Saddek Benkada, « Oran, ou la mémoire exhumée (1962, 1994) dans les nouvelles d’Assia Djebar », Insaniyat, nos 65-66, , p. 93-104 (lire en ligne, consulté le ).
Latifa Sari Mohamed, « La parole occultée ou le voile du silence dans ORAN, Langue morte d’Assia Djebar », Synergies Algérie, no 3, , p. 87-96 (lire en ligne, consulté le ).