↑Paul Bogaards, « Le château de cartes de la défense de la langue française », Le Débat, vol. 2, no 144, , p. 177-192 (lire en ligne) :
« Tous les grammairiens étaient d’accord pour condamner cette grammaire qui, parue trois siècles après la création de l’Académie française, était considérée comme lacunaire et très imparfaite. Afin de répondre aux attentes de ceux qui souhaitaient pouvoir disposer de « règles certaines », un groupe de linguistes et d’hommes de lettres décidèrent de se réunir régulièrement pour trancher les questions les plus urgentes. »
Joseph Hanse, « La contribution belge à la définition du « Bon usage » », Cahiers de l’Association internationale des études francaises, no 14, , p. 25-37 (lire en ligne)