Octave BiotOctave Biot
Octave Biot, né le dans l'ancien 10e arrondissement de Paris mort le dans le 9e arrondissement de Paris, est un officier militaire pendant la guerre franco-prussienne, puis secrétaire au sein de plusieurs grandes rédactions. BiographieOctave Biot est né le dans l'ancien 10e arrondissement de Paris[1]. Il est baptisé le lendemain au sein de la paroisse Saint-Pierre-du-Gros-Caillou dans le 7e arrondissement de Paris[2]. Il est lieutenant de la garde impériale au cours de la guerre franco-prussienne et participe à la Bataille de Forbach-Spicheren ainsi qu'à la bataille de Saint-Privat. Il est alors fait prisonnier à Metz. Il est promu officier supérieur. En 1892, il rédige, en collaboration avec Émile Massard, un ouvrage nationaliste[3]. Lors de l'affaire Dreyfus, il écrit des articles « souvent fort bien informés consacrés aux questions militaires » sous le pseudonyme de « Cdt. Z. » pour le journal politique et antisémite, La Libre Parole[4]. Il en devient le secrétaire de rédaction quelque temps après[5]. Il rallie plus tard L'Action française lorsque La Libre Parole refuse de se positionner comme monarchiste[6]. D'abord rédacteur, il devient chef du secrétariat de la rédaction à L'Action française[7]. Il est inhumé le 30 juillet 1916 au cimetière de Montmartre[8]. Publications
Notes et références
Bibliographie
Liens externes
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