Tout au long des années 1970 et 1980, elle va composer de la musique instrumentale et électroacoustique en parallèle, multipliant les résidences et les visites dans des centres de musique électronique en Europe, comme l'Institute for Psychoacoustics and Electronic Music à Gand, le Groupe de Musique Expérimentale de Bourges, l'Institute of Sonology de Utrecht, le Radio Belgrade Electronic Music Studio à Belgrade et Fylkingen à Stockholm.
Lachartre publie également des articles pour des journaux, notamment le Journal de la Musique Nouvelle de Recherche, pour l'Encyclopædia Universalis[1] et dans la revueDiagrammes du monde.
Une rétrospective de ses oeuvres est parue sous la forme d'un coffret de trois disques vinyles 33 tours en 2023 sur le label belge « Metaphon »[4].
Œuvres
Nicole Lachartre a composé des musiques pour instrument solo, ensemble de chambre, voix, mais aussi de la musique électroacoustique et pour le théâtre:
Le Manteau d'ombre (1963)
D'un pays fasciné (1964)
Sonates. Alto, piano (1964)
Les chants de la tristesse. Six mélodies pour soprano et orchestre (1964)[5]
Textures sonores pour le livre des 4999 caractères. Quatre solistes, chœur d'hommes, chœur de femmes, chœur mixte et orchestre, textes extraits du Tao Tö King (1969)
↑Julie Anne Sadie et Rhian Samuel, The Norton/Grove dictionary of women composers, , 548 p., Digitized online by GoogleBooks (ISBN978-0-393-03487-5, lire en ligne)
↑Sir George Grove et Stanley Sadie, The New Grove dictionary of music and musicians : Volume 2,
↑(en-GB) Metaphon, « Nicole Lachartre », sur Metaphon (consulté le ).