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Né en région parisienne et d'origine vosgienne, Nicolas Normier est très marqué par la nature, les forêts et les cours d'eau de son enfance. Il est père d'une enfant handicapée. Ces deux thèmes influencent largement son architecture et ses recherches.
Il fait ses premières armes dans les Vosges et y gagne plusieurs concours d'équipements publics :
les jardins et fontaines de Contrexéville, succession de places et de fontaines monumentales en marbre de Carrare et laves émaillées ;
le pont couvert d'Épinal, amorce d'un projet de gare d'un téléphérique devant relier le centre-ville avec le quartier du plateau de la Justice ;
à Saint-Dié-des-Vosges, « Turbulences », avec Michel Creton, maison expérimentale pour handicapés pour laquelle il écrit également le programme.
Les recherches de couleurs et de motifs sur les laves de Contrexéville le mènent à la peinture acrylique sur toile de grands formats puis au Land art (« Arbre bleu après la tempête »)…
Son prochain enjeu est l'élaboration d'un réseau mondial de veille et d'éveil écologique dont l'Arbre de la Terre sera l'acte fondateur.
Le projet des Arbres porte-voix des enjeux de la terre
En réponse à l'enjeu planétaire environnemental, Nicolas Normier propose que les peuples organisent « un réseau mondial de veille et d'éveil écologique »[1], constitué d'"Arbres", implantés sur les cinq continents.
Il met au point, avec une équipe pluridisciplinaire, un "monument", l'"Arbre", symbole du développement durable, d'une hauteur variable de 100 à 300 m, dont la structure porteuse est intégralement en bois, constituée de huit piliers de 1,5 m à 3 m de diamètre en bois de feuillus et de résineux. L'emprise au sol est très réduite : un cercle de 15 m à 30 m de diamètre. L'Arbre, à l'image des cathédrales gothiques, porte une flèche en bois et métal, elle est couronnée d'une fleur de 60 m d'envergure. Suivant les projets, entre 20 et 80 m, un habitacle, une cabane, de 2 500 à 4 500 m2 pourrait recevoir jusqu'à 900 visiteurs simultanément.
Le coût du projet vérifié par l'entreprise Fayat, partenaire, est de 50 à 100 millions d'euros selon la hauteur totale. Les Arbres du réseau seraient tous différents suivant leurs pays d'accueil, mais toujours en bois.
Le projet technique et architectural est accompagné par une programmation des activités dans les arbres et aux pieds de ceux-ci.
Il souhaite que les grands mécènes et entreprises participent à ce projet mondial d'Arbre soutenu par l'Unesco.
Les principaux partenaires sont D. Calvi, F. Clairefond, D. Lelièvre, C. Mollard, B. Viry , Fayat métal JP Tahay. T. Monaghan.
La Maison de la Terre
Au sol construite en terre et en bois la Maison de la Terre, de 2000 à 4 000 m2, est gérée en économie sociale et solidaire par les associations locales sportives culturelles ou environnementale, ONG... Elle accueille expositions, ateliers, salle de réunions, services…
La Danse de la Terre
La Danse de la Terre est une collection des totems du monde et symboles de la multiplicité des cultures et des peuples. Les premières installations sont possibles rapidement. Cette collection d'art est installée sur une promenade paysagère au pied de l'Arbre.
Avec son équipe il lance, en 2022, un appel d'offres international auprès de villes territoires et entreprises pour choisir une capitale mondiale du développement durable.
Autres principaux projets architecturaux
Nicolas Normier participe à de grands concours internationaux et y développe ses thèmes fétiches.
Études de l'Arbre en Chine, aux Émirats, en Arabie, au Maroc,..
La Maison de la Chine dans le cadre de Réinventons Paris.
Le prolongement de l'axe de La Défense : le territoire s'organise autour d'un canal d'eau rectiligne de l'Arche à la Seine. (colauréat avec Roland Castro).
L'étude d'un transport en commun de 11 km par téléphérique à Rouen.
L'étude de 140 000 m2 de bureaux, logements et hôtel en accompagnement de l'Arbre à Bagnolet.
Le Centre de communication Swatch-Mercedes (Smart), à Hambach (Sarreguemines), lauréat de concours.
De nombreux projets de logements, équipements, écoles, crèches...
L'étude d'une tonnellerie en Bourgogne (Charlois).
Sa préoccupation des plus fragiles (« Turbulences » à Saint-Dié-des-Vosges, étude d'une maison d'autistes pour l'Armée du salut, d'une maison pour sourds et aveugles, participation à de nombreuses associations de handicapés) l'amène à être lauréat en 2010 du concours du Centre Abbé Pierre Emmaüs à Esteville. Son étude « L'Exclusion, une chance pour la ville » envisage l'implantation d'une maison pour les plus fragiles (handicapés, SDF...) comme moteur urbain d'un quartier démuni.
Prix
Prix du plus bel ouvrage de construction métallique.