Il est conseiller diplomatique du président Nicolas Sarkozy quand débute la guerre civile syrienne en 2011. Alors qu'Éric Chevallier, ambassadeur de France à Damas, soutient que « le régime d’Assad ne tombera pas », Nicolas Galey l'admoneste, selon Pierre Vermeren, lui déclarant « Arrêtez de dire des bêtises ! Il ne faut pas s’en tenir aux faits, il faut voir plus loin que le bout de son nez. Vos informations ne nous intéressent pas. Bachar Al-Assad doit tomber et il tombera. »[2],[3].
↑Décret du 21 novembre 2014 portant nomination d'un ambassadeur, délégué interministériel à la Méditerranée - M. GALEY (Nicolas) (lire en ligne)
↑Décret du 26 octobre 2017 portant nomination d'un ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la République française auprès de la République des Philippines - M. GALEY (Nicolas) (lire en ligne)