Fils et élève de Jean-Baptiste de Poilly, il grave des portraits[2]. Il réalise une gravure du Berger inquisiteur d'après Boucher[2]. Certaines de ses œuvres sont datées de 1758[2]. Il se rend à Rome pour se perfectionner dans son métier de graveur et y réalise un Martyre de Sainte Cécile d'après Zampierri et un Portrait de Clément XI[2]. Il développe un style agréable, très différent de celui de son père et de son oncle[2].
Portrait mortuaire de Jean Boudot (réalisé avec Bernard Picart, Nicolas Jean-Baptiste de Poilly pour le cadre ornementé), 1752, pour le cadre ornementé : lavis d’encre noire, rehauts de gouache blanche, rehauts de pierre noire sur papier ; pour le portrait mortuaire, découpé et collé : sanguine sur papier, 51,1 x 34,5 cm[3].
Notes et références
↑Jeux de cartes et jeux de l'oie héraldiques aux XVIIe et XVIIIe siècles, , 297 p. (lire en ligne), p. 129
↑Dominique Brême et Mehdi Korchane, Dessins français du musée des Beaux-Arts d’Orléans. Le Trait et l’Ombre, Orléans, musée des Beaux-Arts, (ISBN9 788836 651320), n°69.