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Niccolò Giolfino d'abord l'élève de Liberale da Verona (1492) est trop ancré dans la lignée de ses ancêtres sculpteurs véronais, pour se dégager du style gothique à ses débuts (Pentecôte) de 1518 et Scènes de la vie de saint Dominique).
Il s'en dégage quelquefois avec des couleurs vives (vers 1518-1520), subissant l'influence du style de Lorenzo Lotto, puis par la diffusion des œuvres de Giulio Romano à Vérone, et vers 1540 où il s'exprime parfois dans la fresque et les panneaux de cassone.
↑Son pseudonyme avec lequel il a signé quelques-uns de ses tableaux : François Brulliot, p. 342 in Dictionnaire des monogrammes, marques figurées, lettres initiales, noms abrégés etc. avec lesquels les peintres, dessinateurs, graveurs et sculpteurs ont désigné leurs noms, publié par J.G. Cotta, 1832 [1]
↑Les Arts libéraux (Plume et encre grise, rehauts de blanc), Musée du Louvre, Paris [2].
Annexes
Bibliographie
(en) B. North Berenson, Italian Painters of the Renaissance, GP. Putnam's Sons, , 235 p.
(it) Gaetano Cambiagi, Giovanni Battista Cecchi et Luigi Bastianelli (ill. Ignazio Hugford), Serie degli uomini i più illustri nella pittura, scultura, e architettura, Nella stamperia di S.A.R. per Gaetano Cambiagi, , p. 17