Nesytanebetisherou (fille de Pinedjem II)

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Nesytanebetisherou
Image illustrative de l’article Nesytanebetisherou (fille de Pinedjem II)
Momie de Nesytanebetisherou.
Nom en hiéroglyphe
N35
F20
O34		 Z4
Y1		 X1G1V30
X1		 M17N37
D21		 E23N35AZ92
Transcription Ns-tȝ-nb.t-jšrw
Période Troisième Période intermédiaire
Dynastie XXIe dynastie - Dynastie parallèle des grands prêtres d'Amon
Famille
Grand-père paternel Menkhéperrê
Grand-mère paternelle Isetemkheb II
Grand-père maternel Nesbanebdjed II
Grand-mère maternelle Takhentdjéhouty
Père Pinedjem II
Mère Neskhons
Fratrie ♂ Tjanéfer II
♂ Masaharta III
♀ Itaouy
♂ Psousennès III
♀ Herouebenkhet
♀ Hénouttaouy
Sépulture
Nom Tombe DB320
Type Tombeau
Emplacement Deir el-Bahari
Date de découverte 1881
Découvreur Émile Brugsch
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Nesytanebetisherou est la fille de Pinedjem II, grand prêtre d'Amon, et de Neskhons[1].

Généalogie

Voir l’article annexe : Arbre généalogique de la XXIe dynastie égyptienne.

Nesytanebetisherou est la fille Pinedjem II, grand prêtre d'Amon, et de Neskhons, fille du grand prêtre d'Amon Nesbanebdjed II, le frère aîné de Pinedjem II[1].

On a supposé que Djedptahiouefânkh était l'époux de Nesytanebetisherou[2]. Cette hypothèse est basée uniquement sur le fait que Djedptahiouefânkh a été enterré à côté de Nesytanebetisherou dans la tombe DB320[3].

Biographie

Nesytanebetisherou porte les titres « chef des chefs du premier chœur d'Amon » ; « chef des femmes nobles » ; « prêtresse d'Amon-Rê », « seigneur d'Iouroud » ; « prêtresse d'Inheret-Shou, fils de Rê » ; « servante des archives d'Amonrasonther » ; « prêtresse d'Anhour-Shou, fils de Rê »[4].

Elle est mentionnée dans le texte funéraire de sa mère, écrit sur une tablette en bois. Sa momie a été retrouvée dans la tombe DB320 à Deir el-Bahari ; elle est maintenant au musée égyptien du Caire[5].

Notes

  1. ↑ a et b Payraudeau 2020, p. 560.
  2. ↑ Niwiński 1988, p. 226–230.
  3. ↑ Dodson, Hilton 2004, p. 203.
  4. ↑ (en) « Collections Online », sur britishmuseum.org (consulté le ).
  5. ↑ Dodson et Hilton 2004, p. 208.

Bibliographie